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Evaluation des conséquences techniques et économiques du contexte réglementaire imposant des quotas d'azote à l'exploitation dans les bassins versants en contentieux / Yves Marie Boquien / 2009
Titre : Evaluation des conséquences techniques et économiques du contexte réglementaire imposant des quotas d'azote à l'exploitation dans les bassins versants en contentieux Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Marie Boquien, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 62 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Arvalis
non confidentiel
Président de jury : Olivier PerrinLangues : Français (fre) Mots-clés : Bassins versants en contentieux, nitrates, fonctions de production rentabilité rendements exploitation laitière fertilisation azotée excédent brut d’exploitation Résumé : Neuf bassins versants bretons présentent un taux de nitrates au dessus de la norme européenne (50 mg/l). L’état français a imposé un quota d’azote aux exploitations de ces « bassins versant en contentieux ».
Les exploitations situées sur ces bassins versants sont soumises à une réduction réglementaire de leur apport azoté de 140 kg/an/ha de SAU avec un maximum de 40 kg/ha d’azote minéral. L’objectif de cette étude est d’évaluer les conséquences techniques et économiques de cette réglementation.
Au préalable, il a fallu quantifier les pertes de rendement sur la culture du maïs fourrage et du blé tendre d’hiver en réalisant les fonctions de production à l’azote pour la région « grand ouest ». Les enjeux restent faibles sur maïs dans un contexte de terres recevant régulièrement des effluents d’élevage alors que le blé est plus sensible à une réduction de fertilisation azotée. Le fractionnement de l’azote sur la culture du blé permet de limiter ces pertes de rendement.
Dans un deuxième temps nous avons testé des hypothèses
agronomiques permettant de réduire l’impact de la réglementation sur une exploitation type des bassins versants concernés. Les résultats montrent l’intérêt de l’association RGA et TB en prairie et l’implantation de légumineuse en dérobée. Cette réglementation a peu de conséquence sur le résultat économique de l’exploitation, on observe une baisse de rendement qui est en partie compensée par la diminution des charges lié à l’azote. Ce quota d’azote impose néanmoins aux exploitations porcines une quantité supplémentaire d’effluent à traiter engendrant une hausse des charges importantes.Evaluation des conséquences techniques et économiques du contexte réglementaire imposant des quotas d'azote à l'exploitation dans les bassins versants en contentieux [texte imprimé] / Yves Marie Boquien, Auteur . - 2009 . - 62 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Arvalis
non confidentiel
Président de jury : Olivier Perrin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bassins versants en contentieux, nitrates, fonctions de production rentabilité rendements exploitation laitière fertilisation azotée excédent brut d’exploitation Résumé : Neuf bassins versants bretons présentent un taux de nitrates au dessus de la norme européenne (50 mg/l). L’état français a imposé un quota d’azote aux exploitations de ces « bassins versant en contentieux ».
Les exploitations situées sur ces bassins versants sont soumises à une réduction réglementaire de leur apport azoté de 140 kg/an/ha de SAU avec un maximum de 40 kg/ha d’azote minéral. L’objectif de cette étude est d’évaluer les conséquences techniques et économiques de cette réglementation.
Au préalable, il a fallu quantifier les pertes de rendement sur la culture du maïs fourrage et du blé tendre d’hiver en réalisant les fonctions de production à l’azote pour la région « grand ouest ». Les enjeux restent faibles sur maïs dans un contexte de terres recevant régulièrement des effluents d’élevage alors que le blé est plus sensible à une réduction de fertilisation azotée. Le fractionnement de l’azote sur la culture du blé permet de limiter ces pertes de rendement.
Dans un deuxième temps nous avons testé des hypothèses
agronomiques permettant de réduire l’impact de la réglementation sur une exploitation type des bassins versants concernés. Les résultats montrent l’intérêt de l’association RGA et TB en prairie et l’implantation de légumineuse en dérobée. Cette réglementation a peu de conséquence sur le résultat économique de l’exploitation, on observe une baisse de rendement qui est en partie compensée par la diminution des charges lié à l’azote. Ce quota d’azote impose néanmoins aux exploitations porcines une quantité supplémentaire d’effluent à traiter engendrant une hausse des charges importantes.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018195 3636 CD-ROM Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt 0012800018193 3636 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Evaluation technique de l'opération Agri-Mieux "Aquae Seille" / Etienne Deville / 2009
Titre : Evaluation technique de l'opération Agri-Mieux "Aquae Seille" Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Deville, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 63 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Lorraine
Non confidentiel
Président de jury : Isabelle GattinLangues : Français (fre) Mots-clés : Opération agro-environnementale Evaluation Azote Produit phytosanitaire Qualité de l’eau Résumé : Au cours de ces deux dernières décennies, préserver la
qualité de l’eau est devenu un enjeu et un objectif pour les
organismes publics. La Lorraine compte 8 opérations Agri-
Mieux dont le but est de préserver la qualité de l’eau au sein de
territoires « sensibles ». Tous les 4 ans, une évaluation de
chaque opération doit être réalisée afin de montrer l’évolution
des pratiques agricoles au niveau de la gestion de l’azote et de
l’utilisation des produits phytosanitaires. Ce rapport présente la
première évaluation de l’opération « Aquae Seille », lancée en
2005.
60 enquêtes auprès d’agriculteurs ont été réalisées. Les
données ont été traitées avec les logiciels Excel® et Indigo® et
les résultats ont été comparés aux données disponibles.
D’une manière générale, les agriculteurs connaissent
bien l’opération et ses objectifs. Au niveau de la gestion de
l’azote, on constate pour toutes les cultures une surfertilisation
sur les sols limoneux et argileux profonds due à l’absence de
prise en compte des fournitures en azote du sol et/ou un
manque de valorisation du fumier. Les CIPAN sont très peu
implantées au sein de la zone et des efforts sont nécessaires.
Au niveau des produits phytosanitaires quelques matières
actives sont majoritairement utilisées sur chaque culture.
L’indicateur I-PHY nous montre que 60% de la surface en blé
présente des risques environnementaux.
Les résultats obtenus semblent cohérents et des pistes
d’amélioration dans les pratiques sont possibles notamment
dans la gestion de l’azote. De nouvelles pistes sont
concevables comme la promotion de nouvelles filières
agricoles.Evaluation technique de l'opération Agri-Mieux "Aquae Seille" [texte imprimé] / Etienne Deville, Auteur . - 2009 . - 63 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Lorraine
Non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Opération agro-environnementale Evaluation Azote Produit phytosanitaire Qualité de l’eau Résumé : Au cours de ces deux dernières décennies, préserver la
qualité de l’eau est devenu un enjeu et un objectif pour les
organismes publics. La Lorraine compte 8 opérations Agri-
Mieux dont le but est de préserver la qualité de l’eau au sein de
territoires « sensibles ». Tous les 4 ans, une évaluation de
chaque opération doit être réalisée afin de montrer l’évolution
des pratiques agricoles au niveau de la gestion de l’azote et de
l’utilisation des produits phytosanitaires. Ce rapport présente la
première évaluation de l’opération « Aquae Seille », lancée en
2005.
60 enquêtes auprès d’agriculteurs ont été réalisées. Les
données ont été traitées avec les logiciels Excel® et Indigo® et
les résultats ont été comparés aux données disponibles.
D’une manière générale, les agriculteurs connaissent
bien l’opération et ses objectifs. Au niveau de la gestion de
l’azote, on constate pour toutes les cultures une surfertilisation
sur les sols limoneux et argileux profonds due à l’absence de
prise en compte des fournitures en azote du sol et/ou un
manque de valorisation du fumier. Les CIPAN sont très peu
implantées au sein de la zone et des efforts sont nécessaires.
Au niveau des produits phytosanitaires quelques matières
actives sont majoritairement utilisées sur chaque culture.
L’indicateur I-PHY nous montre que 60% de la surface en blé
présente des risques environnementaux.
Les résultats obtenus semblent cohérents et des pistes
d’amélioration dans les pratiques sont possibles notamment
dans la gestion de l’azote. De nouvelles pistes sont
concevables comme la promotion de nouvelles filières
agricoles.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800017911 3658 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Evolution de la méthodologie utilisée pour les remises de résultats réalisées chez les agriculteurs afin d'améliorer la qualité et la productivité de cette prestation / Jérôme Accard / 2009
Titre : Evolution de la méthodologie utilisée pour les remises de résultats réalisées chez les agriculteurs afin d'améliorer la qualité et la productivité de cette prestation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Accard, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 38 p. Accompagnement : Version Cd Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : CER France Seine Maritime
Non confidentiel
Président de jury Olivier PerrinLangues : Français (fre) Mots-clés : Agriculteur conseil qualité productivité méthodologie remise de résultats enquête audit évolution Résumé : Les entreprises de service aux professionnels sont continuellement confrontées à la concurrence. Afin d’être et de rester compétitives, elles doivent sans cesse chercher à améliorer leur productivité ainsi que la qualité de leur production.
Ce mémoire est la synthèse d’une étude visant à améliorer la productivité et la qualité d’un service de conseil proposé aux agriculteurs, « la remise de résultats », par le CER France Seine Maritime. Le but est de définir des pistes d’évolution permettant de faire évoluer la méthode utilisée pour réaliser ce rendez-vous de conseil.
Pour y arriver, un audit de la méthodologie de la remise de résultat ainsi qu’une enquête client ont été réalisées. L’audit a permis d’établir un constat des façons actuelles de procéder et l’enquête a permis de mesurer la satisfaction des clients et de déterminer leurs attentes envers ce rendez-vous de conseil.
Il a été constaté que le service apporté aux agriculteurs adhérents au CER France 76 est globalement homogène, mais que des hétérogénéités existent pour certaines modalités telle que la préparation et le compte rendu. Il a également été constaté que la compréhension du passé occupe une bonne partie du temps du rendez-vous en défaveur du temps consacré à l’avenir de l’entreprise. Concernant les clients, aucune attente particulière n’est réellement ressortie de l’enquête.
Ainsi, à partir de ces constats, des évolutions concernant la remise de résultats ont été proposées et une trame de la méthodologie de ce rendez-vous a été créée. Celle-ci répertorie l’ensemble des actions devant être, au minimum, réalisées pour assurer un service homogène.
Un plan de formation va être mis en place afin d’accompagner les conseillers dans ces changements de méthode.Evolution de la méthodologie utilisée pour les remises de résultats réalisées chez les agriculteurs afin d'améliorer la qualité et la productivité de cette prestation [texte imprimé] / Jérôme Accard, Auteur . - 2009 . - 38 p. + Version Cd.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : CER France Seine Maritime
Non confidentiel
Président de jury Olivier Perrin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Agriculteur conseil qualité productivité méthodologie remise de résultats enquête audit évolution Résumé : Les entreprises de service aux professionnels sont continuellement confrontées à la concurrence. Afin d’être et de rester compétitives, elles doivent sans cesse chercher à améliorer leur productivité ainsi que la qualité de leur production.
Ce mémoire est la synthèse d’une étude visant à améliorer la productivité et la qualité d’un service de conseil proposé aux agriculteurs, « la remise de résultats », par le CER France Seine Maritime. Le but est de définir des pistes d’évolution permettant de faire évoluer la méthode utilisée pour réaliser ce rendez-vous de conseil.
Pour y arriver, un audit de la méthodologie de la remise de résultat ainsi qu’une enquête client ont été réalisées. L’audit a permis d’établir un constat des façons actuelles de procéder et l’enquête a permis de mesurer la satisfaction des clients et de déterminer leurs attentes envers ce rendez-vous de conseil.
Il a été constaté que le service apporté aux agriculteurs adhérents au CER France 76 est globalement homogène, mais que des hétérogénéités existent pour certaines modalités telle que la préparation et le compte rendu. Il a également été constaté que la compréhension du passé occupe une bonne partie du temps du rendez-vous en défaveur du temps consacré à l’avenir de l’entreprise. Concernant les clients, aucune attente particulière n’est réellement ressortie de l’enquête.
Ainsi, à partir de ces constats, des évolutions concernant la remise de résultats ont été proposées et une trame de la méthodologie de ce rendez-vous a été créée. Celle-ci répertorie l’ensemble des actions devant être, au minimum, réalisées pour assurer un service homogène.
Un plan de formation va être mis en place afin d’accompagner les conseillers dans ces changements de méthode.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018390 3627 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt La fin des quotas laitiers en Haute-Normandie / Guillaume Morel / 2009
Titre : La fin des quotas laitiers en Haute-Normandie Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Morel, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 108 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :CER France
Non Confidentiel
Président du jury :Geoffroy BelhennicheLangues : Français (fre) Mots-clés : Haute-Normandie quota lait filière laitière régulation Résumé : Depuis la réforme de 2003, les états membres de l’UE ont décidé de supprimer les quotas laitiers à l’horizon 2015. Un atterrissage « en douceur » a été conclu lors du bilan de santé de la PAC le 20 Novembre 2008.
La dérégulation progressive des marchés et leurs évolutions ont conduit le secteur laitier européen dans une crise profonde depuis le début de l’année 2009.
Dans ce contexte particulier, les CER de l’Eure et de Seine-Maritime s’interrogent sur les perspectives d’évolution de la filière laitière en Haute-Normandie à l’horizon 2015, dans l’optique de la suppression des quotas laitiers.
Par le biais d’une analyse de l’environnement macro-économique, des caractéristiques et de l’évolution du secteur laitier haut-normand, nous tenterons d’apporter quelques éléments de
réponse.
La dynamique laitière des deux départements est très différenciée : forte en Seine-Maritime et plus faible dans l’Eure. Le rythme de restructuration de ces dernières années conduirait à une amplification des écarts structurels avec des exploitations plus spécialisées dans l’Eure, disposant d’un quota moyen de 560000 litres contre 430000 litres pour la Seine-Maritime en 2015.
Par ailleurs, l’analyse globale des performances économiques des exploitations laitières sur 2006 et 2007 va dans le sens d’une intensification des systèmes d’élevages, légèrement plus productifs mais également plus diversifiés en proportion. Les réorientations du bilan de santé, basées sur des références historiques, ne devraient pas avoir beaucoup d’impact sur l’orientation des systèmes actuels. Une baisse du prix du lait de 30 €/1000l influence, en comparaison, près de deux fois plus le revenu des exploitants laitiers.
L’analyse des coûts de revient effectuée sur les exploitations laitières spécialisées pose le
problème de la dérégulation du secteur laitier. Avec un prix d’équilibre proche des 310€/1000l, l’étude montre de gros écarts d’une exploitation à une autre.
Malgré le désarroi des agriculteurs, la suppression des quotas laitiers semble inéluctable.
Une grande partie des résultantes de la restructuration laitière haut-normande dépendra de l’orientation de la Politique Agricole Commune de demain.La fin des quotas laitiers en Haute-Normandie [texte imprimé] / Guillaume Morel, Auteur . - 2009 . - 108 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :CER France
Non Confidentiel
Président du jury :Geoffroy Belhenniche
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Haute-Normandie quota lait filière laitière régulation Résumé : Depuis la réforme de 2003, les états membres de l’UE ont décidé de supprimer les quotas laitiers à l’horizon 2015. Un atterrissage « en douceur » a été conclu lors du bilan de santé de la PAC le 20 Novembre 2008.
La dérégulation progressive des marchés et leurs évolutions ont conduit le secteur laitier européen dans une crise profonde depuis le début de l’année 2009.
Dans ce contexte particulier, les CER de l’Eure et de Seine-Maritime s’interrogent sur les perspectives d’évolution de la filière laitière en Haute-Normandie à l’horizon 2015, dans l’optique de la suppression des quotas laitiers.
Par le biais d’une analyse de l’environnement macro-économique, des caractéristiques et de l’évolution du secteur laitier haut-normand, nous tenterons d’apporter quelques éléments de
réponse.
La dynamique laitière des deux départements est très différenciée : forte en Seine-Maritime et plus faible dans l’Eure. Le rythme de restructuration de ces dernières années conduirait à une amplification des écarts structurels avec des exploitations plus spécialisées dans l’Eure, disposant d’un quota moyen de 560000 litres contre 430000 litres pour la Seine-Maritime en 2015.
Par ailleurs, l’analyse globale des performances économiques des exploitations laitières sur 2006 et 2007 va dans le sens d’une intensification des systèmes d’élevages, légèrement plus productifs mais également plus diversifiés en proportion. Les réorientations du bilan de santé, basées sur des références historiques, ne devraient pas avoir beaucoup d’impact sur l’orientation des systèmes actuels. Une baisse du prix du lait de 30 €/1000l influence, en comparaison, près de deux fois plus le revenu des exploitants laitiers.
L’analyse des coûts de revient effectuée sur les exploitations laitières spécialisées pose le
problème de la dérégulation du secteur laitier. Avec un prix d’équilibre proche des 310€/1000l, l’étude montre de gros écarts d’une exploitation à une autre.
Malgré le désarroi des agriculteurs, la suppression des quotas laitiers semble inéluctable.
Une grande partie des résultantes de la restructuration laitière haut-normande dépendra de l’orientation de la Politique Agricole Commune de demain.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018792 3685 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Identification des légumineuses susceptibles d'être implantées en jachère courte, entre deux cycles de cannes à sucre, dans diverses situations pédoclimatiques à la Réunion / Maxime Chabalier / 2009
Titre : Identification des légumineuses susceptibles d'être implantées en jachère courte, entre deux cycles de cannes à sucre, dans diverses situations pédoclimatiques à la Réunion Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Chabalier, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 55 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Cerf Réunion
non confidentiel
Président de jury :Christophe GangneuxLangues : Français (fre) Mots-clés : Légumineuses tropicales jachères Réunion SPIR azote sols tropicaux biomasses racinaires et aérienne recouvrement logiciel R. Résumé : Une expérimentation a été conduite en 2009, à l’aide d’une convention CERF-CIRAD, sur les stations de Bassin Plat (CIRAD), La Mare (CIRAD) et Menciol (CERF). Il s'agissait d'introduire et d'évaluer les performances de croissance de huit légumineuses à travers la vigueur à la levée et le rythme de croissance, la couverture du sol, la durée du cycle végétatif, la production de biomasse aérienne sèche et le pourcentage et l'accumulation de N (évalué par SPIR). Une expérimentation en pot sous serre a également été menée, ainsi qu’un comparatif entre deux méthodes de mesures de recouvrement et des observations racinaires. Les légumineuses utilisées étaient les suivantes : Lablab purpureus ( L. ) Urb. Glycine max variété Leichardt, Vigna unguiculata, Trifolium semipilosum Fresen, Medicago sativa L., Desmodium intortum (Mill.) Urb., Vigna radiata L., Crotalaria retusa, et Chloris gayana a été utilisé comme plante de référence.Il ressort de l'étude les observations suivantes : ( 1 ) ces plantes ont un cycle végétatif variant entre 2,5 et 4 mois ; même après la période végétative, certaines d'entre elles, comme le niébé et la dolique, présentent une litière abondante et sèche se formant en un enchevêtrement de lianes et de feuilles, constituant non seulement une protection du sol mais aussi un environnement favorable pour les micro-organismes ; ( 2 ) Ces mêmes plantes avec le desmodium produisent la biomasse aérienne la plus importante avec un très bon taux de couverture ; ( 3 ) la teneur en N des légumineuses varie de 1,6 à 3,5 %, occasionnant une accumulation assez importante de N ( 30–220 kg ha-1 ).Ces légumineuses peuvent constituer une solution de remplacement intéressante pour résoudre le problème de l’érosion et de l’augmentation des prix des intrants Identification des légumineuses susceptibles d'être implantées en jachère courte, entre deux cycles de cannes à sucre, dans diverses situations pédoclimatiques à la Réunion [texte imprimé] / Maxime Chabalier, Auteur . - 2009 . - 55 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Cerf Réunion
non confidentiel
Président de jury :Christophe Gangneux
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Légumineuses tropicales jachères Réunion SPIR azote sols tropicaux biomasses racinaires et aérienne recouvrement logiciel R. Résumé : Une expérimentation a été conduite en 2009, à l’aide d’une convention CERF-CIRAD, sur les stations de Bassin Plat (CIRAD), La Mare (CIRAD) et Menciol (CERF). Il s'agissait d'introduire et d'évaluer les performances de croissance de huit légumineuses à travers la vigueur à la levée et le rythme de croissance, la couverture du sol, la durée du cycle végétatif, la production de biomasse aérienne sèche et le pourcentage et l'accumulation de N (évalué par SPIR). Une expérimentation en pot sous serre a également été menée, ainsi qu’un comparatif entre deux méthodes de mesures de recouvrement et des observations racinaires. Les légumineuses utilisées étaient les suivantes : Lablab purpureus ( L. ) Urb. Glycine max variété Leichardt, Vigna unguiculata, Trifolium semipilosum Fresen, Medicago sativa L., Desmodium intortum (Mill.) Urb., Vigna radiata L., Crotalaria retusa, et Chloris gayana a été utilisé comme plante de référence.Il ressort de l'étude les observations suivantes : ( 1 ) ces plantes ont un cycle végétatif variant entre 2,5 et 4 mois ; même après la période végétative, certaines d'entre elles, comme le niébé et la dolique, présentent une litière abondante et sèche se formant en un enchevêtrement de lianes et de feuilles, constituant non seulement une protection du sol mais aussi un environnement favorable pour les micro-organismes ; ( 2 ) Ces mêmes plantes avec le desmodium produisent la biomasse aérienne la plus importante avec un très bon taux de couverture ; ( 3 ) la teneur en N des légumineuses varie de 1,6 à 3,5 %, occasionnant une accumulation assez importante de N ( 30–220 kg ha-1 ).Ces légumineuses peuvent constituer une solution de remplacement intéressante pour résoudre le problème de l’érosion et de l’augmentation des prix des intrants Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018359 3646 CD-ROM Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt 0012800018357 3646 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Impact du pâturage sur le comportement des vaches laitières et les résultats de production dans un système de traite robotisée / Charlotte Morin / 2009
Titre : Impact du pâturage sur le comportement des vaches laitières et les résultats de production dans un système de traite robotisée Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Morin, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 51 p. Accompagnement : Version Cd Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Institut polytechnique LaSalle Beauvais
Non confidentiel
Président du jury : Salima TaibiLangues : Français (fre) Mots-clés : Robot de traite Pâturage Vaches laitières Comportement Fréquence de traite Production laitière Budget temps Synchronisation Rang social Qualité de l’herbe Résumé : Les exploitations laitières robotisées se développent de plus en plus et la question du pâturage en période estivale est très présente. Cette étude menée sur la ferme de LaSalle Beauvais a permis, par la réalisation de lots homogènes, de montrer l’impact du pâturage sur le comportement des vaches laitières et les résultats de production selon la modalité de sortie au pâturage attribuée. Les pâtures étaient accessibles 24 h / 24 et l’impact des différents facteurs comme le budget temps de l’animal, la qualité de l’herbe, la météo et les déplacements ont pu être étudiés. La sortie au pâturage va occuper environ 50 % du temps journalier d’une vache et donc induire une diminution des temps passés au bâtiment. Lors de la sortie au pâturage, les comportements d’alimentation et de rumination sont très synchronisés et présentent une alternation au cours du temps. Les sorties en pâture se font principalement en fin de matinée et en début de soirée tandis que les retours de pâtures se rapprochent des heures de venue de l’exploitant et amènent un engorgement de l’aire d’attente.
L’optimisation de la circulation entre le bâtiment et la pâture avec des sessions courtes et nombreuses va optimiser la fréquence de traite et la production laitière. La qualité de l’herbe proposée aux vaches influence fortement cette circulation et donc les résultats de production. Le contrôle de la sortie au pâturage en fonction de l’intervalle depuis la dernière traite permet de limiter la chute de la fréquence de traite et un maintien de la production laitière malgré une
avancée en lactation et une évolution du rang social. La modélisation donne une fréquence de traite qui dépend de la production laitière, du temps passé en pâture et de la mise à disposition d’herbe nouvelle ou non. Ainsi, lors de la sortie au pâturage, les vaches basses productrices auront des fréquences de traites inférieures à deux traites par jour. La sortie libre semble préférable pour des vaches basses productrices moyennant une fréquence de traite attendue faible tandis que le contrôle de la sortie au pâturage s’avère optimiser la fréquence de traite dans le cadre de vaches hautes productrices.Impact du pâturage sur le comportement des vaches laitières et les résultats de production dans un système de traite robotisée [texte imprimé] / Charlotte Morin, Auteur . - 2009 . - 51 p. + Version Cd.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Institut polytechnique LaSalle Beauvais
Non confidentiel
Président du jury : Salima Taibi
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Robot de traite Pâturage Vaches laitières Comportement Fréquence de traite Production laitière Budget temps Synchronisation Rang social Qualité de l’herbe Résumé : Les exploitations laitières robotisées se développent de plus en plus et la question du pâturage en période estivale est très présente. Cette étude menée sur la ferme de LaSalle Beauvais a permis, par la réalisation de lots homogènes, de montrer l’impact du pâturage sur le comportement des vaches laitières et les résultats de production selon la modalité de sortie au pâturage attribuée. Les pâtures étaient accessibles 24 h / 24 et l’impact des différents facteurs comme le budget temps de l’animal, la qualité de l’herbe, la météo et les déplacements ont pu être étudiés. La sortie au pâturage va occuper environ 50 % du temps journalier d’une vache et donc induire une diminution des temps passés au bâtiment. Lors de la sortie au pâturage, les comportements d’alimentation et de rumination sont très synchronisés et présentent une alternation au cours du temps. Les sorties en pâture se font principalement en fin de matinée et en début de soirée tandis que les retours de pâtures se rapprochent des heures de venue de l’exploitant et amènent un engorgement de l’aire d’attente.
L’optimisation de la circulation entre le bâtiment et la pâture avec des sessions courtes et nombreuses va optimiser la fréquence de traite et la production laitière. La qualité de l’herbe proposée aux vaches influence fortement cette circulation et donc les résultats de production. Le contrôle de la sortie au pâturage en fonction de l’intervalle depuis la dernière traite permet de limiter la chute de la fréquence de traite et un maintien de la production laitière malgré une
avancée en lactation et une évolution du rang social. La modélisation donne une fréquence de traite qui dépend de la production laitière, du temps passé en pâture et de la mise à disposition d’herbe nouvelle ou non. Ainsi, lors de la sortie au pâturage, les vaches basses productrices auront des fréquences de traites inférieures à deux traites par jour. La sortie libre semble préférable pour des vaches basses productrices moyennant une fréquence de traite attendue faible tandis que le contrôle de la sortie au pâturage s’avère optimiser la fréquence de traite dans le cadre de vaches hautes productrices.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018603 3686 CD-ROM Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt 0012800018601 3686 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Influence du nombre de repas sur le comportement des truies gestantes en groupes / Mathilde Crézé / 2009
Titre : Influence du nombre de repas sur le comportement des truies gestantes en groupes Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Crézé, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 52 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Bretagne
Non confidentiel
Président de jury : Patrice LepelletierLangues : Français (fre) Mots-clés : Fréquence des repas
Paille
Caillebotis
Truies gestantes
Truies en groupes Bien-être Comportement Postures Réfectoires Stéréotypies Rang de portée Stade de gestationRésumé : L’effet d’une distribution journalière d’aliments en un ou deux
repas est étudié sur deux bandes d’une quarantaine de truies
gestantes logées en groupes au sein de la station
expérimentale de Crécom (22). Les truies sont logées sur litière
ou sur caillebotis. Dans certains élevages de production, la
diminution du nombre de repas est mise en place pour limiter
l’apparition d’hétérogénéité au sein des groupes et favoriser le
calme entre les repas. Les truies sont observées deux heures
après le repas du matin et deux heures avant le repas du soir.
Les enregistrements portent sur la posture debout, la
localisation dans la case et l’expression de stéréotypies notées
toutes les dix minutes pour chaque truie.
Les animaux sur paille passent plus de temps debout (41,7 %
vs 32,2 %), moins de temps dans les réfectoires (43,9 % vs
53,7 %) et moins de temps à exprimer des stéréotypies (47,6 %
vs 53,9 %) que sur caillebotis. La présence de paille stimulerait
l’activité des truies sur l’ensemble de la gestation, tout en
diminuant les comportements de stéréotypies.
Les truies nourries à un repas passent plus de temps debout
(40,1 % vs 34,0 %), plus de temps dans les réfectoires (55,3 %
vs 41,4 %) et plus de temps à exprimer des stéréotypies (55,4
% vs 45,5 %) que les truies à deux repas. Avec un repas, les
animaux semblent attendre le prochain repas et exprimer une
insatisfaction alimentaire.
Le type de sol semble avoir plus d’influence que le nombre de
repas pour favoriser le calme des truies.Influence du nombre de repas sur le comportement des truies gestantes en groupes [texte imprimé] / Mathilde Crézé, Auteur . - 2009 . - 52 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Bretagne
Non confidentiel
Président de jury : Patrice Lepelletier
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Fréquence des repas
Paille
Caillebotis
Truies gestantes
Truies en groupes Bien-être Comportement Postures Réfectoires Stéréotypies Rang de portée Stade de gestationRésumé : L’effet d’une distribution journalière d’aliments en un ou deux
repas est étudié sur deux bandes d’une quarantaine de truies
gestantes logées en groupes au sein de la station
expérimentale de Crécom (22). Les truies sont logées sur litière
ou sur caillebotis. Dans certains élevages de production, la
diminution du nombre de repas est mise en place pour limiter
l’apparition d’hétérogénéité au sein des groupes et favoriser le
calme entre les repas. Les truies sont observées deux heures
après le repas du matin et deux heures avant le repas du soir.
Les enregistrements portent sur la posture debout, la
localisation dans la case et l’expression de stéréotypies notées
toutes les dix minutes pour chaque truie.
Les animaux sur paille passent plus de temps debout (41,7 %
vs 32,2 %), moins de temps dans les réfectoires (43,9 % vs
53,7 %) et moins de temps à exprimer des stéréotypies (47,6 %
vs 53,9 %) que sur caillebotis. La présence de paille stimulerait
l’activité des truies sur l’ensemble de la gestation, tout en
diminuant les comportements de stéréotypies.
Les truies nourries à un repas passent plus de temps debout
(40,1 % vs 34,0 %), plus de temps dans les réfectoires (55,3 %
vs 41,4 %) et plus de temps à exprimer des stéréotypies (55,4
% vs 45,5 %) que les truies à deux repas. Avec un repas, les
animaux semblent attendre le prochain repas et exprimer une
insatisfaction alimentaire.
Le type de sol semble avoir plus d’influence que le nombre de
repas pour favoriser le calme des truies.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018258 3652 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Lancement d'un nouveau produit anti-limaces / Emeline Pieters / 2018
Titre : Lancement d'un nouveau produit anti-limaces Type de document : texte imprimé Auteurs : Emeline Pieters, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 45 p. Note générale : Mémoire Projet Ingénieur -PI-
Lieu de stage :Adama - Suresnes - (92156)
Tuteur Ecole : Olivier Perrin
Confidentiel : OUI -Jusqu'au 01/09/2020Langues : Français (fre) Mots-clés : Limaces Anti-limace Dégâts Produits phytosanitaires Cultures Marketing Lancement Gusto Analyse Protection Résumé : La production agricole fait face à de nombreuses difficultés, il faut produire plus, mieux mais avec moins et de plus en plus de contraintes règlementaires.Les cultures sont sensibles aux attaques des ravageurs, comme les limaces..Ces limaces sont capables de ravager une parcelle entière si aucun moyen n'est mis en oeuvre.Elles sont de plus en plus présentes si les conditions météorologiques leur sont favorables.Une entreprise comme Adama joue un rôle essentiels dans la protection des plantes et dans la lutte contre les limaces.Deuxième entreprise du marché des appâts contre les limaces elle sort aujourd'hui un nouveau produit moins concentré en matière active mais dont l'efficacité est renforcée.Lors de ce stage, j'ai proposé différentes actions pour mettre en avant le ^produit à l'aide des collaborateurs d' Adama concernant l'aspect technique, marketing ou commercial.Il s'agit d'un pré-lancement.Le produit ne sera commercialsé qu'en automne 2019. Les actions sont à poursuivre, notamment l'analyse des essais en cours. Lancement d'un nouveau produit anti-limaces [texte imprimé] / Emeline Pieters, Auteur . - 2018 . - 45 p.
Mémoire Projet Ingénieur -PI-
Lieu de stage :Adama - Suresnes - (92156)
Tuteur Ecole : Olivier Perrin
Confidentiel : OUI -Jusqu'au 01/09/2020
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Limaces Anti-limace Dégâts Produits phytosanitaires Cultures Marketing Lancement Gusto Analyse Protection Résumé : La production agricole fait face à de nombreuses difficultés, il faut produire plus, mieux mais avec moins et de plus en plus de contraintes règlementaires.Les cultures sont sensibles aux attaques des ravageurs, comme les limaces..Ces limaces sont capables de ravager une parcelle entière si aucun moyen n'est mis en oeuvre.Elles sont de plus en plus présentes si les conditions météorologiques leur sont favorables.Une entreprise comme Adama joue un rôle essentiels dans la protection des plantes et dans la lutte contre les limaces.Deuxième entreprise du marché des appâts contre les limaces elle sort aujourd'hui un nouveau produit moins concentré en matière active mais dont l'efficacité est renforcée.Lors de ce stage, j'ai proposé différentes actions pour mettre en avant le ^produit à l'aide des collaborateurs d' Adama concernant l'aspect technique, marketing ou commercial.Il s'agit d'un pré-lancement.Le produit ne sera commercialsé qu'en automne 2019. Les actions sont à poursuivre, notamment l'analyse des essais en cours. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité GEN000000000786 4691 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Lancement d’un document d’objectifs Natura 2000 au Pays Basque et diagnostic agro-pastoral / Marie Eulalie Chochon / 2009
Titre : Lancement d’un document d’objectifs Natura 2000 au Pays Basque et diagnostic agro-pastoral Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Eulalie Chochon, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 73 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : SUAT Pays Basque, Chambre d'agriculture des Pyrénées Atlantiques
non Confidentiel
Président de jury : Isabelle GattinLangues : Français (fre) Résumé : Cette étude porte sur la mise en place de la démarche Natura 2000 sur un site au Pays Basque. La prémière partie synthétise le contexte Natura 2000, le lancement du document d’objectifs, l’équipe technique. Au sein du SUAT Pays basque, cette étude comporte également la réalisation du disgnoctic agro-pastoral sur la Vallée concernée. L’objectif étant de cerner les systèmes d’exploitation mais aussi leurs pratiques et leurs projets. Lancement d’un document d’objectifs Natura 2000 au Pays Basque et diagnostic agro-pastoral [texte imprimé] / Marie Eulalie Chochon, Auteur . - 2009 . - 73 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : SUAT Pays Basque, Chambre d'agriculture des Pyrénées Atlantiques
non Confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette étude porte sur la mise en place de la démarche Natura 2000 sur un site au Pays Basque. La prémière partie synthétise le contexte Natura 2000, le lancement du document d’objectifs, l’équipe technique. Au sein du SUAT Pays basque, cette étude comporte également la réalisation du disgnoctic agro-pastoral sur la Vallée concernée. L’objectif étant de cerner les systèmes d’exploitation mais aussi leurs pratiques et leurs projets. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800020647 3648 CD-ROM Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Management de la qualité, de la sécurité et l'environnement : mise en oeuvre des outils de pilotage et engagement de la démarche de certification ISO 9001 / Matthieu Vasset / 2008
Titre : Management de la qualité, de la sécurité et l'environnement : mise en oeuvre des outils de pilotage et engagement de la démarche de certification ISO 9001 Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Vasset, Auteur Année de publication : 2008 Importance : 53 p. + annexes Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Jalmat SA
Non ConfidentielLangues : Français (fre) Index. décimale : 658.56 Contrôle de la production. Contrôle de la qualité, emballage Résumé : L’objectif de la mission a été d’initier la mise en oeuvre d’un Système de Management Intégré
de la Qualité, de la Sécurité et de l’Environnement (QSE) pour l’entreprise Jalmat. Ce Système de
Management vise l’amélioration continue. Il doit rendre ainsi plus efficace l’action du service QSE
créé il y a maintenant 2 ans : Le fonctionnement passera alors d’une résolution plutôt curative et
individuelle des problématiques vers une résolution préventive et globale.
Dans le même temps, plusieurs projets du service QSE concernant la Sécurité et l’Environnement
ont été suivis. Ils ont été gérés conformément aux exigences du Système de Management mis en
place durant la mission.
La mise en oeuvre du Système de Management a donc été réalisée selon les exigences de la
norme ISO 9001 afin de créer un Système de Management de la Qualité efficace et dont le
fonctionnement permet d’intégrer également la résolution des problématiques Sécurité et
Environnement.
En fin de mission, la structure du SMI est établie et les premiers rouages fonctionnent. Il reste
néanmoins un travail conséquent à fournir pour atteindre un Système tout à fait fonctionnel et
obtenir une certification ISO 9001. Pour cela, il faudra notamment sensibiliser davantage la
Direction qui n’est pas encore assez impliquée dans la démarche. Les résultats satisfaisants des
projets suivis en parallèles de la mission ont permis de réduire de moitié le budget concernant les
vérifications périodiques des équipements tout en améliorant l’efficacité de leur gestion. Quand au
tableau de bord des indicateurs Sécurité, il donne aujourd’hui une vision globale de la Sécurité chez
Jalmat et permet ainsi de piloter la prévention Sécurité à l’échelle du groupe.Management de la qualité, de la sécurité et l'environnement : mise en oeuvre des outils de pilotage et engagement de la démarche de certification ISO 9001 [texte imprimé] / Matthieu Vasset, Auteur . - 2008 . - 53 p. + annexes + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Jalmat SA
Non Confidentiel
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 658.56 Contrôle de la production. Contrôle de la qualité, emballage Résumé : L’objectif de la mission a été d’initier la mise en oeuvre d’un Système de Management Intégré
de la Qualité, de la Sécurité et de l’Environnement (QSE) pour l’entreprise Jalmat. Ce Système de
Management vise l’amélioration continue. Il doit rendre ainsi plus efficace l’action du service QSE
créé il y a maintenant 2 ans : Le fonctionnement passera alors d’une résolution plutôt curative et
individuelle des problématiques vers une résolution préventive et globale.
Dans le même temps, plusieurs projets du service QSE concernant la Sécurité et l’Environnement
ont été suivis. Ils ont été gérés conformément aux exigences du Système de Management mis en
place durant la mission.
La mise en oeuvre du Système de Management a donc été réalisée selon les exigences de la
norme ISO 9001 afin de créer un Système de Management de la Qualité efficace et dont le
fonctionnement permet d’intégrer également la résolution des problématiques Sécurité et
Environnement.
En fin de mission, la structure du SMI est établie et les premiers rouages fonctionnent. Il reste
néanmoins un travail conséquent à fournir pour atteindre un Système tout à fait fonctionnel et
obtenir une certification ISO 9001. Pour cela, il faudra notamment sensibiliser davantage la
Direction qui n’est pas encore assez impliquée dans la démarche. Les résultats satisfaisants des
projets suivis en parallèles de la mission ont permis de réduire de moitié le budget concernant les
vérifications périodiques des équipements tout en améliorant l’efficacité de leur gestion. Quand au
tableau de bord des indicateurs Sécurité, il donne aujourd’hui une vision globale de la Sécurité chez
Jalmat et permet ainsi de piloter la prévention Sécurité à l’échelle du groupe.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800016550 3622 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Organisation et pénibilité du travail en élevage porcin / Marie Laure Saudrais / 2009
Titre : Organisation et pénibilité du travail en élevage porcin Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Laure Saudrais, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 49 p. + annexes Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Coopagri Bretagne
Non confidentiel
Président du jury : Elisabeth MoreauLangues : Français (fre) Résumé : Cette étude s’articule en cinq parties : le contexte et la problématique ; la méthodologie adoptée ; la population enquêtée ; les résultats et analyse de l’enquête sur les temps de travail ; les résultats et analyse de l’enquête
sur la pénibilité du travail en élevage porcin; la discussion.
Cette étude réalisée à la demande de Coopagri-Bretagne a pour but d’être présentée lors du Forum Capig du 24 Juin 2009 réunissant les éleveurs du GIE Capig. Cette année les thèmes abordés sont l’organisation, la pénibilité et le management en élevage de porcs. les objectifs sont d’identifier quels sont les facteurs de variations entre les
exploitations et quelles sont les conduites et pratiques d’élevage les plus économes en temps et en pénibilité.
Pour répondre à ces questions, une enquête basée sur deux
questionnaires a été effectuée auprès de 59 éleveurs de porcs des quatre groupements formant le GIE Capig. L’échantillon concerne des naisseurs engraisseurs du Grand-Ouest avec des conduites en bandes et des tailles d’atelier différentes ayant des salariés ou non. Le
questionnaire vise à connaître les pratiques d’élevages et le temps de travail par tâche et global. Une deuxième enquête réalisée chez 35
éleveurs identifie les tâches et différents problèmes les plus pénibles pour les éleveurs de porcs.
On obtient des résultats surprenants mais identiques chez nos voisins producteurs européens. Les temps de travail n’influencent pas les performances techniques. Les élevages où les temps de travail sont les plus bas présentent également les meilleurs résultats techniques.
Cependant notre hypothèse stipulant que les conduites en grandes bandes sont plus efficientes que les autres conduites est bel et bien vérifiée. Concernant la pénibilité, un des enseignements de cette étude
est que les éleveurs de porcs souffrent davantage de pénibilité mentale que de pénibilité physique.
Même si les études ne sont pas exhaustives, elles montrent les tendances et les progrès de la production depuis 2003. Les conclusions sont d’ailleurs très encourageantes puisque 2h45 par truie et par an ont été économisées par rapport à la dernière étude. Nous espérons que les résultats et conclusions présentés lors du Forum seront adaptés et
appliqués dans les élevages et ainsi contribueront à l’amélioration d’une meilleure organisation du temps entre le travail et les autres activités
extra professionnelles.Organisation et pénibilité du travail en élevage porcin [texte imprimé] / Marie Laure Saudrais, Auteur . - 2009 . - 49 p. + annexes + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Coopagri Bretagne
Non confidentiel
Président du jury : Elisabeth Moreau
Langues : Français (fre)
Résumé : Cette étude s’articule en cinq parties : le contexte et la problématique ; la méthodologie adoptée ; la population enquêtée ; les résultats et analyse de l’enquête sur les temps de travail ; les résultats et analyse de l’enquête
sur la pénibilité du travail en élevage porcin; la discussion.
Cette étude réalisée à la demande de Coopagri-Bretagne a pour but d’être présentée lors du Forum Capig du 24 Juin 2009 réunissant les éleveurs du GIE Capig. Cette année les thèmes abordés sont l’organisation, la pénibilité et le management en élevage de porcs. les objectifs sont d’identifier quels sont les facteurs de variations entre les
exploitations et quelles sont les conduites et pratiques d’élevage les plus économes en temps et en pénibilité.
Pour répondre à ces questions, une enquête basée sur deux
questionnaires a été effectuée auprès de 59 éleveurs de porcs des quatre groupements formant le GIE Capig. L’échantillon concerne des naisseurs engraisseurs du Grand-Ouest avec des conduites en bandes et des tailles d’atelier différentes ayant des salariés ou non. Le
questionnaire vise à connaître les pratiques d’élevages et le temps de travail par tâche et global. Une deuxième enquête réalisée chez 35
éleveurs identifie les tâches et différents problèmes les plus pénibles pour les éleveurs de porcs.
On obtient des résultats surprenants mais identiques chez nos voisins producteurs européens. Les temps de travail n’influencent pas les performances techniques. Les élevages où les temps de travail sont les plus bas présentent également les meilleurs résultats techniques.
Cependant notre hypothèse stipulant que les conduites en grandes bandes sont plus efficientes que les autres conduites est bel et bien vérifiée. Concernant la pénibilité, un des enseignements de cette étude
est que les éleveurs de porcs souffrent davantage de pénibilité mentale que de pénibilité physique.
Même si les études ne sont pas exhaustives, elles montrent les tendances et les progrès de la production depuis 2003. Les conclusions sont d’ailleurs très encourageantes puisque 2h45 par truie et par an ont été économisées par rapport à la dernière étude. Nous espérons que les résultats et conclusions présentés lors du Forum seront adaptés et
appliqués dans les élevages et ainsi contribueront à l’amélioration d’une meilleure organisation du temps entre le travail et les autres activités
extra professionnelles.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018595 3698 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Perceptions et améliorations de la démarche et des actions mises en oeuvre par SOMEA dans les bassins versants pour lutter contre l'érosion / Eeckhout Alexandre / 2009
Titre : Perceptions et améliorations de la démarche et des actions mises en oeuvre par SOMEA dans les bassins versants pour lutter contre l'érosion Type de document : texte imprimé Auteurs : Eeckhout Alexandre, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 57 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : SOMEA
non confidentiel
Président de jury : Isabelle GattinLangues : Français (fre) Mots-clés : Erosion Ruissellement Enquête de satisfaction Perception de l’efficacité Résumé : L’association SOMEA a été créée en 1996 par la Chambre d’Agriculture et le Conseil Général de la Somme afin de lutter contre les problèmes d’érosion et de ruissellement sur les bassins versants du département.
Une équipe de trois chargés de mission travaillent au sein de l’association et appliquent d’une part, des méthodes préventives en sensibilisant les agriculteurs et d’autre part, des méthodes curatives par la mise en place d’ouvrages permettant la canalisation et le stockage des eaux de ruissellement lors des fortes précipitations.
Ainsi, depuis 1996, prés de 25 000 ha ont été aménagés par les agents techniques de l’association. Mais aujourd’hui, les responsables de SOMEA souhaitent avoir un retour de terrain des actions et des mesures mises en œuvre et notamment connaître leurs impacts sur la diminution du ruissellement et de l’érosion.
L’objet de cette étude est d’évaluer rapidement l’efficacité globale des mesures et moyens mis en œuvre dans les bassins versants pour lutter contre l’érosion. Cette efficacité globale est évaluée par le biais de la perception des élus locaux et agriculteurs de quelques bassins versants. Pour cela une enquête de satisfaction a été réalisée auprès d’une trentaine de personnes afin de recueillir leur propre perception de l’efficacité des ouvrages
Après analyse, les résultats des enquêtes ont été présentés sous forme d’indicateurs regroupés dans une fiche de synthèse.
L’enquête a mis en évidence une bonne satisfaction générale des élus et agriculteurs sur les actions et la démarche déployées par SOMEA. Toutefois, les résultats d’enquête restent discutables puisque d’importants phénomènes pluvieux n’ont pas été observés sur tous les bassins versants depuis leur aménagement.
Des pistes d’amélioration ont cependant été dégagées à partir des enquêtes et devraient permettre à l’association SOMEA de renforcer ses actions dans les prochaines annéesPerceptions et améliorations de la démarche et des actions mises en oeuvre par SOMEA dans les bassins versants pour lutter contre l'érosion [texte imprimé] / Eeckhout Alexandre, Auteur . - 2009 . - 57 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : SOMEA
non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Erosion Ruissellement Enquête de satisfaction Perception de l’efficacité Résumé : L’association SOMEA a été créée en 1996 par la Chambre d’Agriculture et le Conseil Général de la Somme afin de lutter contre les problèmes d’érosion et de ruissellement sur les bassins versants du département.
Une équipe de trois chargés de mission travaillent au sein de l’association et appliquent d’une part, des méthodes préventives en sensibilisant les agriculteurs et d’autre part, des méthodes curatives par la mise en place d’ouvrages permettant la canalisation et le stockage des eaux de ruissellement lors des fortes précipitations.
Ainsi, depuis 1996, prés de 25 000 ha ont été aménagés par les agents techniques de l’association. Mais aujourd’hui, les responsables de SOMEA souhaitent avoir un retour de terrain des actions et des mesures mises en œuvre et notamment connaître leurs impacts sur la diminution du ruissellement et de l’érosion.
L’objet de cette étude est d’évaluer rapidement l’efficacité globale des mesures et moyens mis en œuvre dans les bassins versants pour lutter contre l’érosion. Cette efficacité globale est évaluée par le biais de la perception des élus locaux et agriculteurs de quelques bassins versants. Pour cela une enquête de satisfaction a été réalisée auprès d’une trentaine de personnes afin de recueillir leur propre perception de l’efficacité des ouvrages
Après analyse, les résultats des enquêtes ont été présentés sous forme d’indicateurs regroupés dans une fiche de synthèse.
L’enquête a mis en évidence une bonne satisfaction générale des élus et agriculteurs sur les actions et la démarche déployées par SOMEA. Toutefois, les résultats d’enquête restent discutables puisque d’importants phénomènes pluvieux n’ont pas été observés sur tous les bassins versants depuis leur aménagement.
Des pistes d’amélioration ont cependant été dégagées à partir des enquêtes et devraient permettre à l’association SOMEA de renforcer ses actions dans les prochaines annéesExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018335 3660 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Potentiel d'expression des terroirs pour l'amélioration et la valorisation de la poduction du Carbenet Sauvignon / Manuel Rasse / 2018
Titre : Potentiel d'expression des terroirs pour l'amélioration et la valorisation de la poduction du Carbenet Sauvignon Type de document : texte imprimé Auteurs : Manuel Rasse, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 67p.avec annexes Format : version papier Note générale : mémoire projet ingénieur
lieu de stage:Conicet Iban (Argentine)
tuteur école:Marc Legras
confidentiel/date de levée de confidentialité:janvier 2020Langues : Français (fre) Mots-clés : anthocyane polyphénols terroir Vitis vinifera L. Potentiel d'expression des terroirs pour l'amélioration et la valorisation de la poduction du Carbenet Sauvignon [texte imprimé] / Manuel Rasse, Auteur . - 2018 . - 67p.avec annexes ; version papier.
mémoire projet ingénieur
lieu de stage:Conicet Iban (Argentine)
tuteur école:Marc Legras
confidentiel/date de levée de confidentialité:janvier 2020
Langues : Français (fre)
Mots-clés : anthocyane polyphénols terroir Vitis vinifera L. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité GEN000000000399 4697 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Préconisations en vue de la mise en place d'une politique agricole intercommunale durable en Val de Garonne / Evelyne Gasson / 2009
Titre : Préconisations en vue de la mise en place d'une politique agricole intercommunale durable en Val de Garonne Type de document : texte imprimé Auteurs : Evelyne Gasson, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 105 p. avec les annexes Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Communauté de communes Val de Garonne (Marmande)
non confidentiel
Président de jury : Odile BourgainLangues : Français (fre) Mots-clés : Aménagement du territoire Développement durable Intercommunalité Agriculture périurbaine Identifiant territorial Résumé : La Communauté de Communes du Val de Garonne (CCVG) est située dans le Lot-et-Garonne, centrée autour des villes de Marmande et Tonneins. L’agriculture périurbaine est développée autour du maraîchage, de la viticulture et des grandes cultures. La commission agriculture de la CCVG mène
différentes actions en direction de l’agriculture telles que le développement d’un réseau de vente directe à la ferme ou encore l’implication pour l’apprentissage en fruits et légumes. Ses élus souhaitent mettre en place une stratégie pour le développement de l’agriculture, basée sur une
meilleure connaissance de l’agriculture du territoire, d’où la problématique : Quelle stratégie la CCVG peut-elle mettre en place afin de dynamiser son agriculture ?
Pour y répondre, un état des lieux de l’agriculture a été effectué, puis les agriculteurs et les metteurs en marché de fruits et légumes ont été consultés pour donner leur avis sur différents sujets, notamment l’agriculture biologique et un identifiant territorial. Trois scénarios ont pu être
dégagés, autour de thématiques socio-économiques puis environnementales :
- Le Val de Garonne développe l’emploi, l’innovation et les relations commerciales,
- Le Val de Garonne devra prendre en compte l’environnement à travers la gestion de
l’énergie,
- Le Val de Garonne devra prendre en compte l’environnement à travers la diminution de
l’impact et de l’utilisation des produits phytosanitaires.
L’identifiant territorial n’a pas été une solution retenue pour répondre à la problématique tandis que l’agriculture biologique peut faire partie des réponses.
Les élus de la commission agriculture ont à travers cette étude les éléments nécessaires pour définir une politique agricole cohérente et efficace pour le Val de Garonne.Préconisations en vue de la mise en place d'une politique agricole intercommunale durable en Val de Garonne [texte imprimé] / Evelyne Gasson, Auteur . - 2009 . - 105 p. avec les annexes + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Communauté de communes Val de Garonne (Marmande)
non confidentiel
Président de jury : Odile Bourgain
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aménagement du territoire Développement durable Intercommunalité Agriculture périurbaine Identifiant territorial Résumé : La Communauté de Communes du Val de Garonne (CCVG) est située dans le Lot-et-Garonne, centrée autour des villes de Marmande et Tonneins. L’agriculture périurbaine est développée autour du maraîchage, de la viticulture et des grandes cultures. La commission agriculture de la CCVG mène
différentes actions en direction de l’agriculture telles que le développement d’un réseau de vente directe à la ferme ou encore l’implication pour l’apprentissage en fruits et légumes. Ses élus souhaitent mettre en place une stratégie pour le développement de l’agriculture, basée sur une
meilleure connaissance de l’agriculture du territoire, d’où la problématique : Quelle stratégie la CCVG peut-elle mettre en place afin de dynamiser son agriculture ?
Pour y répondre, un état des lieux de l’agriculture a été effectué, puis les agriculteurs et les metteurs en marché de fruits et légumes ont été consultés pour donner leur avis sur différents sujets, notamment l’agriculture biologique et un identifiant territorial. Trois scénarios ont pu être
dégagés, autour de thématiques socio-économiques puis environnementales :
- Le Val de Garonne développe l’emploi, l’innovation et les relations commerciales,
- Le Val de Garonne devra prendre en compte l’environnement à travers la gestion de
l’énergie,
- Le Val de Garonne devra prendre en compte l’environnement à travers la diminution de
l’impact et de l’utilisation des produits phytosanitaires.
L’identifiant territorial n’a pas été une solution retenue pour répondre à la problématique tandis que l’agriculture biologique peut faire partie des réponses.
Les élus de la commission agriculture ont à travers cette étude les éléments nécessaires pour définir une politique agricole cohérente et efficace pour le Val de Garonne.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800019000 3664 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Les problèmes de désherbage causés par les graminées dans les cultures de blé et d'escourgeon dans la Somme / Sébastien Descamps / 2009
Titre : Les problèmes de désherbage causés par les graminées dans les cultures de blé et d'escourgeon dans la Somme Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Descamps, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 44 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de la Somme
non confidentiel
Président de jury : Isabelle GattinLangues : Français (fre) Mots-clés : Graminées résistantes labour programme de désherbage sulfonyl-urées Fop Ecophyto 2018 Résumé : En France, de plus en plus de cas de graminées (vulpins, ray grass,..) résistantes aux
herbicides sont rencontrés dans les parcelles de céréales. Ces cas se sont développés avec
l’utilisation trop répétée d’herbicides appartenant aux familles chimiques des
aryloxyphénoxypropionates (Fop) et des sulfonyl-urées. Le département de la Somme
n’échappe pas à ces problèmes qui concernent de plus en plus d’agriculteurs. L’unité
productions végétales de la Chambre d'Agriculture de la Somme a donc souhaité acquérir
des références sur le terrain avec la mise en place d’essais dans des parcelles de blé et
d’escourgeon confrontées à ces problèmes dans le but de trouver et de communiquer des
solutions aux agriculteurs concernés et de limiter le développement de ces phénomènes de
résistance. Parallèlement à cela, une enquête a été réalisée pour mieux appréhender et
inventorier les problèmes de désherbage dus aux résistances. Elle a montré que 41% des
réponses signalaient un soupçon de graminées résistantes aux herbicides dont 45% aux Fop
et 33% aux sulphonyl-urées. Les essais ont quant à eux, permis de montrer aux agriculteurs
l’intérêt de suivre un programme de désherbage avec la réalisation d’un désherbage à
l’automne, ce dernier étant suivi d’un rattrapage en sortie d’hiver. Ils ont également mis en
évidence l’importance de l’agronomie et du travail du sol avec la réalisation d’un labour
avant l’implantation de la céréale qui permet d’enfouir les graines d’adventices et d’éviter
les levées échelonnées de ray grass pour améliorer l’efficacité du désherbage.Les problèmes de désherbage causés par les graminées dans les cultures de blé et d'escourgeon dans la Somme [texte imprimé] / Sébastien Descamps, Auteur . - 2009 . - 44 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de la Somme
non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Graminées résistantes labour programme de désherbage sulfonyl-urées Fop Ecophyto 2018 Résumé : En France, de plus en plus de cas de graminées (vulpins, ray grass,..) résistantes aux
herbicides sont rencontrés dans les parcelles de céréales. Ces cas se sont développés avec
l’utilisation trop répétée d’herbicides appartenant aux familles chimiques des
aryloxyphénoxypropionates (Fop) et des sulfonyl-urées. Le département de la Somme
n’échappe pas à ces problèmes qui concernent de plus en plus d’agriculteurs. L’unité
productions végétales de la Chambre d'Agriculture de la Somme a donc souhaité acquérir
des références sur le terrain avec la mise en place d’essais dans des parcelles de blé et
d’escourgeon confrontées à ces problèmes dans le but de trouver et de communiquer des
solutions aux agriculteurs concernés et de limiter le développement de ces phénomènes de
résistance. Parallèlement à cela, une enquête a été réalisée pour mieux appréhender et
inventorier les problèmes de désherbage dus aux résistances. Elle a montré que 41% des
réponses signalaient un soupçon de graminées résistantes aux herbicides dont 45% aux Fop
et 33% aux sulphonyl-urées. Les essais ont quant à eux, permis de montrer aux agriculteurs
l’intérêt de suivre un programme de désherbage avec la réalisation d’un désherbage à
l’automne, ce dernier étant suivi d’un rattrapage en sortie d’hiver. Ils ont également mis en
évidence l’importance de l’agronomie et du travail du sol avec la réalisation d’un labour
avant l’implantation de la céréale qui permet d’enfouir les graines d’adventices et d’éviter
les levées échelonnées de ray grass pour améliorer l’efficacité du désherbage.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018365 3657 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt 0012800018697 3657 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt