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Comment réduire l'utilisation des fongicides dans le vignoble Nantais ? Les premières solutions / Romain Couillaud / 2009
Titre : Comment réduire l'utilisation des fongicides dans le vignoble Nantais ? Les premières solutions Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Couillaud, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 54 p. Accompagnement : Version Cd illisible Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Loire Atlantique
Non confidentiel
Président de jury : Marc LegrasLangues : Français (fre) Mots-clés : Pulvérisation Réduction des traitements Maladies de la vigne Optidose SDN Résumé : La production de raisin de qualité nécessite une protection phytosanitaire de la vigne sans faille. Cependant avec l'objectif de réduction de 50 % des pesticides imposés par le Grenelle de l'environnement, une nouvelle approche doit être envisagée. Plusieurs pistes sont à l'étude et concernent principalement l'optimisation des doses de matières actives, la qualité de la pulvérisation et l'utilisation de produits alternatifs moins nocifs pour l'environnement... Comment réduire l'utilisation des fongicides dans le vignoble Nantais ? Les premières solutions [texte imprimé] / Romain Couillaud, Auteur . - 2009 . - 54 p. + Version Cd illisible.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Loire Atlantique
Non confidentiel
Président de jury : Marc Legras
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pulvérisation Réduction des traitements Maladies de la vigne Optidose SDN Résumé : La production de raisin de qualité nécessite une protection phytosanitaire de la vigne sans faille. Cependant avec l'objectif de réduction de 50 % des pesticides imposés par le Grenelle de l'environnement, une nouvelle approche doit être envisagée. Plusieurs pistes sont à l'étude et concernent principalement l'optimisation des doses de matières actives, la qualité de la pulvérisation et l'utilisation de produits alternatifs moins nocifs pour l'environnement... Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018545 3651 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt 0012800018609 3651 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt
Titre : Evaluation technique de l'opération Agri-Mieux "Aquae Seille" Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Deville, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 63 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Lorraine
Non confidentiel
Président de jury : Isabelle GattinLangues : Français (fre) Mots-clés : Opération agro-environnementale Evaluation Azote Produit phytosanitaire Qualité de l’eau Résumé : Au cours de ces deux dernières décennies, préserver la
qualité de l’eau est devenu un enjeu et un objectif pour les
organismes publics. La Lorraine compte 8 opérations Agri-
Mieux dont le but est de préserver la qualité de l’eau au sein de
territoires « sensibles ». Tous les 4 ans, une évaluation de
chaque opération doit être réalisée afin de montrer l’évolution
des pratiques agricoles au niveau de la gestion de l’azote et de
l’utilisation des produits phytosanitaires. Ce rapport présente la
première évaluation de l’opération « Aquae Seille », lancée en
2005.
60 enquêtes auprès d’agriculteurs ont été réalisées. Les
données ont été traitées avec les logiciels Excel® et Indigo® et
les résultats ont été comparés aux données disponibles.
D’une manière générale, les agriculteurs connaissent
bien l’opération et ses objectifs. Au niveau de la gestion de
l’azote, on constate pour toutes les cultures une surfertilisation
sur les sols limoneux et argileux profonds due à l’absence de
prise en compte des fournitures en azote du sol et/ou un
manque de valorisation du fumier. Les CIPAN sont très peu
implantées au sein de la zone et des efforts sont nécessaires.
Au niveau des produits phytosanitaires quelques matières
actives sont majoritairement utilisées sur chaque culture.
L’indicateur I-PHY nous montre que 60% de la surface en blé
présente des risques environnementaux.
Les résultats obtenus semblent cohérents et des pistes
d’amélioration dans les pratiques sont possibles notamment
dans la gestion de l’azote. De nouvelles pistes sont
concevables comme la promotion de nouvelles filières
agricoles.Evaluation technique de l'opération Agri-Mieux "Aquae Seille" [texte imprimé] / Etienne Deville, Auteur . - 2009 . - 63 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Lorraine
Non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Opération agro-environnementale Evaluation Azote Produit phytosanitaire Qualité de l’eau Résumé : Au cours de ces deux dernières décennies, préserver la
qualité de l’eau est devenu un enjeu et un objectif pour les
organismes publics. La Lorraine compte 8 opérations Agri-
Mieux dont le but est de préserver la qualité de l’eau au sein de
territoires « sensibles ». Tous les 4 ans, une évaluation de
chaque opération doit être réalisée afin de montrer l’évolution
des pratiques agricoles au niveau de la gestion de l’azote et de
l’utilisation des produits phytosanitaires. Ce rapport présente la
première évaluation de l’opération « Aquae Seille », lancée en
2005.
60 enquêtes auprès d’agriculteurs ont été réalisées. Les
données ont été traitées avec les logiciels Excel® et Indigo® et
les résultats ont été comparés aux données disponibles.
D’une manière générale, les agriculteurs connaissent
bien l’opération et ses objectifs. Au niveau de la gestion de
l’azote, on constate pour toutes les cultures une surfertilisation
sur les sols limoneux et argileux profonds due à l’absence de
prise en compte des fournitures en azote du sol et/ou un
manque de valorisation du fumier. Les CIPAN sont très peu
implantées au sein de la zone et des efforts sont nécessaires.
Au niveau des produits phytosanitaires quelques matières
actives sont majoritairement utilisées sur chaque culture.
L’indicateur I-PHY nous montre que 60% de la surface en blé
présente des risques environnementaux.
Les résultats obtenus semblent cohérents et des pistes
d’amélioration dans les pratiques sont possibles notamment
dans la gestion de l’azote. De nouvelles pistes sont
concevables comme la promotion de nouvelles filières
agricoles.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800017911 3658 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Influence du nombre de repas sur le comportement des truies gestantes en groupes / Mathilde Crézé / 2009
Titre : Influence du nombre de repas sur le comportement des truies gestantes en groupes Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Crézé, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 52 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Bretagne
Non confidentiel
Président de jury : Patrice LepelletierLangues : Français (fre) Mots-clés : Fréquence des repas
Paille
Caillebotis
Truies gestantes
Truies en groupes Bien-être Comportement Postures Réfectoires Stéréotypies Rang de portée Stade de gestationRésumé : L’effet d’une distribution journalière d’aliments en un ou deux
repas est étudié sur deux bandes d’une quarantaine de truies
gestantes logées en groupes au sein de la station
expérimentale de Crécom (22). Les truies sont logées sur litière
ou sur caillebotis. Dans certains élevages de production, la
diminution du nombre de repas est mise en place pour limiter
l’apparition d’hétérogénéité au sein des groupes et favoriser le
calme entre les repas. Les truies sont observées deux heures
après le repas du matin et deux heures avant le repas du soir.
Les enregistrements portent sur la posture debout, la
localisation dans la case et l’expression de stéréotypies notées
toutes les dix minutes pour chaque truie.
Les animaux sur paille passent plus de temps debout (41,7 %
vs 32,2 %), moins de temps dans les réfectoires (43,9 % vs
53,7 %) et moins de temps à exprimer des stéréotypies (47,6 %
vs 53,9 %) que sur caillebotis. La présence de paille stimulerait
l’activité des truies sur l’ensemble de la gestation, tout en
diminuant les comportements de stéréotypies.
Les truies nourries à un repas passent plus de temps debout
(40,1 % vs 34,0 %), plus de temps dans les réfectoires (55,3 %
vs 41,4 %) et plus de temps à exprimer des stéréotypies (55,4
% vs 45,5 %) que les truies à deux repas. Avec un repas, les
animaux semblent attendre le prochain repas et exprimer une
insatisfaction alimentaire.
Le type de sol semble avoir plus d’influence que le nombre de
repas pour favoriser le calme des truies.Influence du nombre de repas sur le comportement des truies gestantes en groupes [texte imprimé] / Mathilde Crézé, Auteur . - 2009 . - 52 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de Bretagne
Non confidentiel
Président de jury : Patrice Lepelletier
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Fréquence des repas
Paille
Caillebotis
Truies gestantes
Truies en groupes Bien-être Comportement Postures Réfectoires Stéréotypies Rang de portée Stade de gestationRésumé : L’effet d’une distribution journalière d’aliments en un ou deux
repas est étudié sur deux bandes d’une quarantaine de truies
gestantes logées en groupes au sein de la station
expérimentale de Crécom (22). Les truies sont logées sur litière
ou sur caillebotis. Dans certains élevages de production, la
diminution du nombre de repas est mise en place pour limiter
l’apparition d’hétérogénéité au sein des groupes et favoriser le
calme entre les repas. Les truies sont observées deux heures
après le repas du matin et deux heures avant le repas du soir.
Les enregistrements portent sur la posture debout, la
localisation dans la case et l’expression de stéréotypies notées
toutes les dix minutes pour chaque truie.
Les animaux sur paille passent plus de temps debout (41,7 %
vs 32,2 %), moins de temps dans les réfectoires (43,9 % vs
53,7 %) et moins de temps à exprimer des stéréotypies (47,6 %
vs 53,9 %) que sur caillebotis. La présence de paille stimulerait
l’activité des truies sur l’ensemble de la gestation, tout en
diminuant les comportements de stéréotypies.
Les truies nourries à un repas passent plus de temps debout
(40,1 % vs 34,0 %), plus de temps dans les réfectoires (55,3 %
vs 41,4 %) et plus de temps à exprimer des stéréotypies (55,4
% vs 45,5 %) que les truies à deux repas. Avec un repas, les
animaux semblent attendre le prochain repas et exprimer une
insatisfaction alimentaire.
Le type de sol semble avoir plus d’influence que le nombre de
repas pour favoriser le calme des truies.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018258 3652 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt Les problèmes de désherbage causés par les graminées dans les cultures de blé et d'escourgeon dans la Somme / Sébastien Descamps / 2009
Titre : Les problèmes de désherbage causés par les graminées dans les cultures de blé et d'escourgeon dans la Somme Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Descamps, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 44 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de la Somme
non confidentiel
Président de jury : Isabelle GattinLangues : Français (fre) Mots-clés : Graminées résistantes labour programme de désherbage sulfonyl-urées Fop Ecophyto 2018 Résumé : En France, de plus en plus de cas de graminées (vulpins, ray grass,..) résistantes aux
herbicides sont rencontrés dans les parcelles de céréales. Ces cas se sont développés avec
l’utilisation trop répétée d’herbicides appartenant aux familles chimiques des
aryloxyphénoxypropionates (Fop) et des sulfonyl-urées. Le département de la Somme
n’échappe pas à ces problèmes qui concernent de plus en plus d’agriculteurs. L’unité
productions végétales de la Chambre d'Agriculture de la Somme a donc souhaité acquérir
des références sur le terrain avec la mise en place d’essais dans des parcelles de blé et
d’escourgeon confrontées à ces problèmes dans le but de trouver et de communiquer des
solutions aux agriculteurs concernés et de limiter le développement de ces phénomènes de
résistance. Parallèlement à cela, une enquête a été réalisée pour mieux appréhender et
inventorier les problèmes de désherbage dus aux résistances. Elle a montré que 41% des
réponses signalaient un soupçon de graminées résistantes aux herbicides dont 45% aux Fop
et 33% aux sulphonyl-urées. Les essais ont quant à eux, permis de montrer aux agriculteurs
l’intérêt de suivre un programme de désherbage avec la réalisation d’un désherbage à
l’automne, ce dernier étant suivi d’un rattrapage en sortie d’hiver. Ils ont également mis en
évidence l’importance de l’agronomie et du travail du sol avec la réalisation d’un labour
avant l’implantation de la céréale qui permet d’enfouir les graines d’adventices et d’éviter
les levées échelonnées de ray grass pour améliorer l’efficacité du désherbage.Les problèmes de désherbage causés par les graminées dans les cultures de blé et d'escourgeon dans la Somme [texte imprimé] / Sébastien Descamps, Auteur . - 2009 . - 44 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Chambre d'agriculture de la Somme
non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Graminées résistantes labour programme de désherbage sulfonyl-urées Fop Ecophyto 2018 Résumé : En France, de plus en plus de cas de graminées (vulpins, ray grass,..) résistantes aux
herbicides sont rencontrés dans les parcelles de céréales. Ces cas se sont développés avec
l’utilisation trop répétée d’herbicides appartenant aux familles chimiques des
aryloxyphénoxypropionates (Fop) et des sulfonyl-urées. Le département de la Somme
n’échappe pas à ces problèmes qui concernent de plus en plus d’agriculteurs. L’unité
productions végétales de la Chambre d'Agriculture de la Somme a donc souhaité acquérir
des références sur le terrain avec la mise en place d’essais dans des parcelles de blé et
d’escourgeon confrontées à ces problèmes dans le but de trouver et de communiquer des
solutions aux agriculteurs concernés et de limiter le développement de ces phénomènes de
résistance. Parallèlement à cela, une enquête a été réalisée pour mieux appréhender et
inventorier les problèmes de désherbage dus aux résistances. Elle a montré que 41% des
réponses signalaient un soupçon de graminées résistantes aux herbicides dont 45% aux Fop
et 33% aux sulphonyl-urées. Les essais ont quant à eux, permis de montrer aux agriculteurs
l’intérêt de suivre un programme de désherbage avec la réalisation d’un désherbage à
l’automne, ce dernier étant suivi d’un rattrapage en sortie d’hiver. Ils ont également mis en
évidence l’importance de l’agronomie et du travail du sol avec la réalisation d’un labour
avant l’implantation de la céréale qui permet d’enfouir les graines d’adventices et d’éviter
les levées échelonnées de ray grass pour améliorer l’efficacité du désherbage.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800018365 3657 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt 0012800018697 3657 Mémoire Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Archives Exclu du prêt