Titre : |
Emily L. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marguerite Duras, Auteur |
Editeur : |
Paris : Éditions de Minuit |
Année de publication : |
2008 |
Collection : |
Double num. 51 |
Importance : |
1 vol. (153 p.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7073-2023-0 |
Prix : |
6 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Amour Roman
|
Index. décimale : |
843 Fiction de langue française |
Résumé : |
D'après l'éditeur : "Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l"estuaire de la Seine. C’est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d’impossibles ruptures. « Je ne peux pas m’arrêter d’écrire, dit la narratrice à l’homme qui l’accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l’écris, c’est comme si je vous retrouvais… que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver… ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir. » La narratrice et l’homme qu’elle n’aime plus - ou qu’elle aime – observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l’île de Wight, venus de leur yacht : le « captain » et une femme détruite par l’alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux – elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l’on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l’amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers – hauts immeubles de l’impeccable blanc – montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L’immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d’angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, « le corps qui lit et qui veut connaître l’histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu’il ignore déjà »." |
Emily L. [texte imprimé] / Marguerite Duras, Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 2008 . - 1 vol. (153 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Double; 51) . ISBN : 978-2-7073-2023-0 : 6 EUR Langues : Français ( fre) Catégories : |
Amour Roman
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Index. décimale : |
843 Fiction de langue française |
Résumé : |
D'après l'éditeur : "Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l"estuaire de la Seine. C’est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d’impossibles ruptures. « Je ne peux pas m’arrêter d’écrire, dit la narratrice à l’homme qui l’accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l’écris, c’est comme si je vous retrouvais… que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver… ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir. » La narratrice et l’homme qu’elle n’aime plus - ou qu’elle aime – observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l’île de Wight, venus de leur yacht : le « captain » et une femme détruite par l’alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux – elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l’on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l’amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers – hauts immeubles de l’impeccable blanc – montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L’immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d’angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, « le corps qui lit et qui veut connaître l’histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu’il ignore déjà »." |
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