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Aide au développementSynonyme(s)Development assistance Development cooperationVoir aussi
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[article]
Titre : Dossier : relever le défi climatique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Note de contenu : 1/ Le débat sur la taxe carbone en France
Futuribles
Christian de Perthuis
Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, la France s'est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2050. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a décidé, suivant en partie les préconisations de la commission sur la contribution " climat et énergie " présidée par Michel Rocard, d'instaurer à partir de 2010 une taxe carbone de 17 euros par tonne de CO2 (dioxyde de carbone). Ce nouvel impôt vert fait, depuis, l'objet d'un vif débat. S'il doit permettre, à terme, de modifier les comportements des agents économiques, son introduction pose un certain nombre de difficultés comme le niveau du taux d'imposition optimal, le problème de la compensation pour les ménages les plus pauvres et les salariés résidant loin de leur lieu de travail ou celui de la taxation de certaines activités professionnelles fortement émettrices de CO2.
2/ Réduire les gaz à effet de serre : la boîte à outils des économistes
Etude de la mission Climat
Caisse des dépôts et consignations
A l'heure où la France s'interroge sur la nécessité d'instaurer une taxe carbone, les économistes réfléchissent aux possibilités dont disposent les Etats en général pour lutter contre le réchauffement climatique. L'étude de la mission Climat de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) passe en revue les différents instruments de réduction des gaz à effet de serre (GES) et en montre les avantages et les inconvénients. Si l'instauration d'une taxe semble avoir fait ses preuves en Suède ou en Norvège, elle serait difficile à mettre en œuvre au niveau international. Le marché d'émissions de GES, lui, permet de jouer sur les volumes et présente l'avantage d'octroyer plus de liberté aux Etats. Mais ce système a aussi des imperfections. Il est notamment susceptible d'encourager les comportements spéculatifs...
3/ J-12 avant le sommet de Copenhague !
Lettre de l'OFCE
Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux
A la veille du sommet de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre 2009, les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) doivent, afin de convaincre, notamment la Chine de participer à un accord global, donner l'exemple en se mettant d'accord sur des engagements ambitieux en matière de lutte contre le réchauffement climatique. La clé du succès du sommet de Copenhague tient ainsi à la détermination et à la crédibilité des Etats-Unis et de l'UE. Or, si les Européens font figure de leaders en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le paquet énergie-climat, adopté en décembre 2008, ne fait pas l'unanimité parmi les Etats membres. Les Américains, de leur côté, peineront à faire accepter par le Sénat un programme contre lequel les opposants, même parmi les Démocrates, sont légion.
4/Et si Copenhague échouait ?
Rapport du Conseil d'analyse économique
Jean Tirole
Les négociations ayant abouti, il y a une dizaine d'années, à la mise en œuvre du Protocole de Kyoto ont été considérées comme un demi-échec en raison de la non-ratification par les Etats-Unis de ce dernier et de l'absence de contraintes pour les grands pays émergents. Le sommet de Copenhague, en décembre 2009, constituera une étape cruciale pour l'après-Kyoto. Jean Tirole fixe, dans un rapport récent du Conseil d'analyse économique (CAE), le cadre de ce que serait un accord global optimal. Selon lui, une approche globale fondée sur un système unique de droits d'émissions négociables, avec un prix unique du carbone fixé au niveau international et une allocation mondiale des droits à polluer, serait préférable à toutes les autres solutions. Mais les dispositifs actuels de lutte contre le réchauffement climatique, dont il évalue également l'efficacité, ne vont pas dans le sens d'une coopération internationale efficace. Tel est le cas du mécanisme de développement propre (MDP) qui, bien que largement utilisé, présente en effet un certain nombre d'effets pervers.
5/L'adaptation au changement climatique : une nécessité pour les pays en développement
Responsabilité et environnement - Annales des mines
Marc Gillet
Le réchauffement climatique est un phénomène cumulatif : le CO2 (dioxyde de carbone) relâché dans l'atmosphère y demeure plusieurs dizaines d'années (de cinquante à deux cents ans). Ainsi, même si les Etats s'avéraient capables à l'avenir de stabiliser les émissions de gaz à effet de serre (GES), celles lâchées dans l'atmosphère, il y a plusieurs années, ont d'ores et déjà entraîné un changement profond du climat. C'est pourquoi, mettre en œuvre rapidement des mécanismes d'adaptation au changement climatique est devenu impératif. Ce principe consiste, selon la définition qu'en donnent les spécialistes, à " s'interroger sur les actions à entreprendre afin de vivre, dans les meilleures conditions possibles, les climats du futur en réduisant notre vulnérabilité face au changement climatique qui se produira malgré tout ". Mais l'adaptation coûte très cher (déplacer les populations, reboiser, modifier les modes de construction, etc.) et les régions qui en ont le plus besoin sont aussi les plus pauvres. Longtemps sous-estimé, l'enjeu de l'adaptation figure désormais à l'agenda de la plupart des programmes d'aide au développement.En ligne : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/revues-collections/problemes-economiques/ [...]
in Problèmes économiques > n°2983 (25 novembre 2009 )[article] Dossier : relever le défi climatique [texte imprimé] . - 2009.
Langues : Français (fre)
in Problèmes économiques > n°2983 (25 novembre 2009 )
Note de contenu : 1/ Le débat sur la taxe carbone en France
Futuribles
Christian de Perthuis
Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, la France s'est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2050. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a décidé, suivant en partie les préconisations de la commission sur la contribution " climat et énergie " présidée par Michel Rocard, d'instaurer à partir de 2010 une taxe carbone de 17 euros par tonne de CO2 (dioxyde de carbone). Ce nouvel impôt vert fait, depuis, l'objet d'un vif débat. S'il doit permettre, à terme, de modifier les comportements des agents économiques, son introduction pose un certain nombre de difficultés comme le niveau du taux d'imposition optimal, le problème de la compensation pour les ménages les plus pauvres et les salariés résidant loin de leur lieu de travail ou celui de la taxation de certaines activités professionnelles fortement émettrices de CO2.
2/ Réduire les gaz à effet de serre : la boîte à outils des économistes
Etude de la mission Climat
Caisse des dépôts et consignations
A l'heure où la France s'interroge sur la nécessité d'instaurer une taxe carbone, les économistes réfléchissent aux possibilités dont disposent les Etats en général pour lutter contre le réchauffement climatique. L'étude de la mission Climat de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) passe en revue les différents instruments de réduction des gaz à effet de serre (GES) et en montre les avantages et les inconvénients. Si l'instauration d'une taxe semble avoir fait ses preuves en Suède ou en Norvège, elle serait difficile à mettre en œuvre au niveau international. Le marché d'émissions de GES, lui, permet de jouer sur les volumes et présente l'avantage d'octroyer plus de liberté aux Etats. Mais ce système a aussi des imperfections. Il est notamment susceptible d'encourager les comportements spéculatifs...
3/ J-12 avant le sommet de Copenhague !
Lettre de l'OFCE
Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux
A la veille du sommet de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre 2009, les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) doivent, afin de convaincre, notamment la Chine de participer à un accord global, donner l'exemple en se mettant d'accord sur des engagements ambitieux en matière de lutte contre le réchauffement climatique. La clé du succès du sommet de Copenhague tient ainsi à la détermination et à la crédibilité des Etats-Unis et de l'UE. Or, si les Européens font figure de leaders en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le paquet énergie-climat, adopté en décembre 2008, ne fait pas l'unanimité parmi les Etats membres. Les Américains, de leur côté, peineront à faire accepter par le Sénat un programme contre lequel les opposants, même parmi les Démocrates, sont légion.
4/Et si Copenhague échouait ?
Rapport du Conseil d'analyse économique
Jean Tirole
Les négociations ayant abouti, il y a une dizaine d'années, à la mise en œuvre du Protocole de Kyoto ont été considérées comme un demi-échec en raison de la non-ratification par les Etats-Unis de ce dernier et de l'absence de contraintes pour les grands pays émergents. Le sommet de Copenhague, en décembre 2009, constituera une étape cruciale pour l'après-Kyoto. Jean Tirole fixe, dans un rapport récent du Conseil d'analyse économique (CAE), le cadre de ce que serait un accord global optimal. Selon lui, une approche globale fondée sur un système unique de droits d'émissions négociables, avec un prix unique du carbone fixé au niveau international et une allocation mondiale des droits à polluer, serait préférable à toutes les autres solutions. Mais les dispositifs actuels de lutte contre le réchauffement climatique, dont il évalue également l'efficacité, ne vont pas dans le sens d'une coopération internationale efficace. Tel est le cas du mécanisme de développement propre (MDP) qui, bien que largement utilisé, présente en effet un certain nombre d'effets pervers.
5/L'adaptation au changement climatique : une nécessité pour les pays en développement
Responsabilité et environnement - Annales des mines
Marc Gillet
Le réchauffement climatique est un phénomène cumulatif : le CO2 (dioxyde de carbone) relâché dans l'atmosphère y demeure plusieurs dizaines d'années (de cinquante à deux cents ans). Ainsi, même si les Etats s'avéraient capables à l'avenir de stabiliser les émissions de gaz à effet de serre (GES), celles lâchées dans l'atmosphère, il y a plusieurs années, ont d'ores et déjà entraîné un changement profond du climat. C'est pourquoi, mettre en œuvre rapidement des mécanismes d'adaptation au changement climatique est devenu impératif. Ce principe consiste, selon la définition qu'en donnent les spécialistes, à " s'interroger sur les actions à entreprendre afin de vivre, dans les meilleures conditions possibles, les climats du futur en réduisant notre vulnérabilité face au changement climatique qui se produira malgré tout ". Mais l'adaptation coûte très cher (déplacer les populations, reboiser, modifier les modes de construction, etc.) et les régions qui en ont le plus besoin sont aussi les plus pauvres. Longtemps sous-estimé, l'enjeu de l'adaptation figure désormais à l'agenda de la plupart des programmes d'aide au développement.En ligne : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/revues-collections/problemes-economiques/ [...]
Titre : Politiques agricoles des économies émergentes 2009 : Suivi et évaluation Type de document : texte imprimé Auteurs : OCDE, Auteur Editeur : Paris : Les éditions de l'OCDE Année de publication : 2009 Importance : 213 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-92-64-05929-0 Note générale : Ce livre contient des statlinks . L'adresse de téléchargement des fichiers est indiquée en bas et à droite des tableaux ou graphiques. Langues : Français (fre) Index. décimale : 338.181 Economie agricole - Politiques internationales Résumé : Présentation de l'éditeur : Ce rapport analyse les évolutions des politiques agricoles intervenues au cours de la période 2006-08 dans sept économies : Afrique du Sud, Brésil, Chili, Chine, Inde, Russie et Ukraine. Cette période a été marquée par une hausse significative des prix mondiaux de la plupart des produits agricoles, mais pas de tous cependant. Face à la flambée des prix alimentaires, les pouvoirs publics ont mis en place différentes mesures : réductions tarifaires, restrictions à l’exportation, relèvement des prix minimums et contrôle des prix, subventions aux intrants, vente des stocks et transferts directs aux plus démunis. Par ailleurs, ils ont souvent choisi de développer les mécanismes de crédit bonifié et/ou de rééchelonnement de la dette, cherché à améliorer la mise en œuvre et les performances des politiques agricoles, étendu plus largement les programmes d’assurance, et accéléré la réforme agraire. Le rapport comprend également une annexe statistique très complète, qui donne un large éventail d’informations contextuelles sur ces économies.
Le rapport fournit les estimations du soutien accordé à l’agriculture entre 1995 et 2007 pour six des pays pris en compte (à l’exception de l’Inde), effectuées conformément à la méthode de mesure de l’OCDE récemment révisée. Ces chiffres permettent une comparaison cohérente de l’évolution du niveau et de la composition du soutien aux producteurs et à l’ensemble du secteur, tant entre les différentes économies émergentes qu’avec les pays de l’OCDE.Note de contenu : 1/ Vue d'ensemble
2/ Brésil
3/ Chili
4/ Chine
5/ Inde
6/ Russie
7/ Afrique du Sud
8/ UkrainePolitiques agricoles des économies émergentes 2009 : Suivi et évaluation [texte imprimé] / OCDE, Auteur . - Paris : Les éditions de l'OCDE, 2009 . - 213 p.
ISBN : 978-92-64-05929-0
Ce livre contient des statlinks . L'adresse de téléchargement des fichiers est indiquée en bas et à droite des tableaux ou graphiques.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 338.181 Economie agricole - Politiques internationales Résumé : Présentation de l'éditeur : Ce rapport analyse les évolutions des politiques agricoles intervenues au cours de la période 2006-08 dans sept économies : Afrique du Sud, Brésil, Chili, Chine, Inde, Russie et Ukraine. Cette période a été marquée par une hausse significative des prix mondiaux de la plupart des produits agricoles, mais pas de tous cependant. Face à la flambée des prix alimentaires, les pouvoirs publics ont mis en place différentes mesures : réductions tarifaires, restrictions à l’exportation, relèvement des prix minimums et contrôle des prix, subventions aux intrants, vente des stocks et transferts directs aux plus démunis. Par ailleurs, ils ont souvent choisi de développer les mécanismes de crédit bonifié et/ou de rééchelonnement de la dette, cherché à améliorer la mise en œuvre et les performances des politiques agricoles, étendu plus largement les programmes d’assurance, et accéléré la réforme agraire. Le rapport comprend également une annexe statistique très complète, qui donne un large éventail d’informations contextuelles sur ces économies.
Le rapport fournit les estimations du soutien accordé à l’agriculture entre 1995 et 2007 pour six des pays pris en compte (à l’exception de l’Inde), effectuées conformément à la méthode de mesure de l’OCDE récemment révisée. Ces chiffres permettent une comparaison cohérente de l’évolution du niveau et de la composition du soutien aux producteurs et à l’ensemble du secteur, tant entre les différentes économies émergentes qu’avec les pays de l’OCDE.Note de contenu : 1/ Vue d'ensemble
2/ Brésil
3/ Chili
4/ Chine
5/ Inde
6/ Russie
7/ Afrique du Sud
8/ UkraineExemplaires
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