Titre : |
How can we assess the welfare on extensively managed hill sheep ? (in Scotland) |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charlotte Georges, Auteur |
Année de publication : |
2012 |
Importance : |
48 p. + annexes |
Format : |
Version papier + Cd |
Note générale : |
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Scottish agricultural college
Non confidentiel
Président du jury : Nadia Laurent |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’évaluation du bien-être animal pour les moutons élevés extensivement a été mise de côté, et ce au dépend de l’agriculture intensive. L’écart commence cependant à se refermer depuis plusieurs années car les besoins pour évaluer le bien-être des animaux extensifs sont au centre de nombreuses recherches et discussions. Mais c’est ici qu’émerge une problématique car comment peut-on évaluer le bien-être des moutons vivant sur les collines et donc ayant très peu de contacts avec les humains ? De plus en plus d’indicateurs sont développés afin d’être le plus valide et fiable possible: propreté de la laine, état de santé des yeux et des dents ou encore la boiterie. La réaction de peur d’un animal face à un étranger est aussi utilisée comme signe de mal-être. Celui-ci répondra négativement face à un étranger s’il est habitué à être malmené par l’éleveur. C’est dans ce contexte que j’ai analysé des vidéos de brebis qui sont traitées de manière positive, minimale et négative en milieu et fin de gestation. Ce qui ressort de cette étude est que les brebis traitées positivement sont plus effrayées par une personne étrangère, comparé aux animaux traités de façon minimale et négative. Par ailleurs les brebis en fin de gestation sont pour la plupart non affectées par la présence d’un inconnu, mais leurs positions et locations sont similaires aux brebis en milieu de gestation. C’est pourquoi le test d’Approche Volontaire comme évaluation du bien-être doit être pris avec précautions, |
How can we assess the welfare on extensively managed hill sheep ? (in Scotland) [texte imprimé] / Charlotte Georges, Auteur . - 2012 . - 48 p. + annexes ; Version papier + Cd. Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Scottish agricultural college
Non confidentiel
Président du jury : Nadia Laurent Langues : Français ( fre)
Résumé : |
L’évaluation du bien-être animal pour les moutons élevés extensivement a été mise de côté, et ce au dépend de l’agriculture intensive. L’écart commence cependant à se refermer depuis plusieurs années car les besoins pour évaluer le bien-être des animaux extensifs sont au centre de nombreuses recherches et discussions. Mais c’est ici qu’émerge une problématique car comment peut-on évaluer le bien-être des moutons vivant sur les collines et donc ayant très peu de contacts avec les humains ? De plus en plus d’indicateurs sont développés afin d’être le plus valide et fiable possible: propreté de la laine, état de santé des yeux et des dents ou encore la boiterie. La réaction de peur d’un animal face à un étranger est aussi utilisée comme signe de mal-être. Celui-ci répondra négativement face à un étranger s’il est habitué à être malmené par l’éleveur. C’est dans ce contexte que j’ai analysé des vidéos de brebis qui sont traitées de manière positive, minimale et négative en milieu et fin de gestation. Ce qui ressort de cette étude est que les brebis traitées positivement sont plus effrayées par une personne étrangère, comparé aux animaux traités de façon minimale et négative. Par ailleurs les brebis en fin de gestation sont pour la plupart non affectées par la présence d’un inconnu, mais leurs positions et locations sont similaires aux brebis en milieu de gestation. C’est pourquoi le test d’Approche Volontaire comme évaluation du bien-être doit être pris avec précautions, |
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