Titre : |
Diagnostic de l'invasion biologique aux Antilles françaises et définition des enjeux fondamentaux et des stratégies de suivi et gestion : Cas de la Guadeloupe |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sophie Hoffman, Auteur |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
59 p. |
Format : |
Version papier + Cd |
Note générale : |
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Asconit Consultants (97122 Baie-Mahault)
non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Invasion biologique Espèce envahissante Stratégie Plan d'action Méthode DPSIR Guadeloupe |
Résumé : |
Les invasions biologiques sont la deuxième cause d’érosion de la
biodiversité. Elles menacent aussi bien l’environnement que
l’économie, l’identité culturelle ou la santé. Ce projet a consisté à
établir un état des lieux de cette problématique aux Antilles françaises.
Une analyse de l’ensemble de la bibliographie disponible sur le sujet
et la réalisation d’enquêtes auprès des acteurs clés ont permis de
dresser un bilan des connaissances actuelles sur les espèces
exotiques envahissantes (EEE), des acteurs impliqués et à impliquer
et de leur perception de cette problématique, des données disponibles
et de leur accessibilité, des actions réalisées et de la réglementation
s’appliquant aux EEE. Ce diagnostic, couplé à l’utilisation de la
méthode DPSIR pour la caractérisation des relations de cause à effet
liées à ce problème et la formulation de réponses adéquates, et à une
concertation des acteurs mise en avant lors de l’organisation d’un
atelier-débat sur l’axe préventif, est la base à la formulation d’une
stratégie de gestion des espèces exotiques envahissantes. Une
ébauche de stratégie a été proposée en prenant en exemple l’axe de
la prévention en Guadeloupe. Des objectifs opérationnels et un plan
d’actions ont été matérialisés. La Guadeloupe accuse un net retard
sur la gestion de cette problématique. En dépit d’une certaine
résistance écosystémique, des espèces apparaissent qui démontrent
un potentiel invasif élevé et colonisent progressivement les milieux
dégradés, et même, depuis peu les milieux naturels fermés. Les
connaissances, l’accessibilité des informations et les actions menées
sont insuffisantes et cette étude met en évidence les manquements et
les actions à entreprendre. |
Diagnostic de l'invasion biologique aux Antilles françaises et définition des enjeux fondamentaux et des stratégies de suivi et gestion : Cas de la Guadeloupe [texte imprimé] / Sophie Hoffman, Auteur . - 2011 . - 59 p. ; Version papier + Cd. Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Asconit Consultants (97122 Baie-Mahault)
non confidentiel
Président de jury : Isabelle Gattin Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Invasion biologique Espèce envahissante Stratégie Plan d'action Méthode DPSIR Guadeloupe |
Résumé : |
Les invasions biologiques sont la deuxième cause d’érosion de la
biodiversité. Elles menacent aussi bien l’environnement que
l’économie, l’identité culturelle ou la santé. Ce projet a consisté à
établir un état des lieux de cette problématique aux Antilles françaises.
Une analyse de l’ensemble de la bibliographie disponible sur le sujet
et la réalisation d’enquêtes auprès des acteurs clés ont permis de
dresser un bilan des connaissances actuelles sur les espèces
exotiques envahissantes (EEE), des acteurs impliqués et à impliquer
et de leur perception de cette problématique, des données disponibles
et de leur accessibilité, des actions réalisées et de la réglementation
s’appliquant aux EEE. Ce diagnostic, couplé à l’utilisation de la
méthode DPSIR pour la caractérisation des relations de cause à effet
liées à ce problème et la formulation de réponses adéquates, et à une
concertation des acteurs mise en avant lors de l’organisation d’un
atelier-débat sur l’axe préventif, est la base à la formulation d’une
stratégie de gestion des espèces exotiques envahissantes. Une
ébauche de stratégie a été proposée en prenant en exemple l’axe de
la prévention en Guadeloupe. Des objectifs opérationnels et un plan
d’actions ont été matérialisés. La Guadeloupe accuse un net retard
sur la gestion de cette problématique. En dépit d’une certaine
résistance écosystémique, des espèces apparaissent qui démontrent
un potentiel invasif élevé et colonisent progressivement les milieux
dégradés, et même, depuis peu les milieux naturels fermés. Les
connaissances, l’accessibilité des informations et les actions menées
sont insuffisantes et cette étude met en évidence les manquements et
les actions à entreprendre. |
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