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| Titre : |
Après l’installation d’un robot de traite, comment maintenir la part d’herbe pâturée dans la ration des vaches laitières ? |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Catherine Entraygues, Auteur |
| Année de publication : |
2014 |
| Importance : |
116 p. |
| Format : |
Version papier + Cd |
| Note générale : |
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Ferme expérimentale de Derval (44590 Derval)
Non confidentiel
Président du jury :Patrice Lepelletier |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Robot de traite Pâturage Vaches laitières Expérimentation Circulation Temps de présence à la pâture Pâturage Bovin Autograssmilk Ferme expérimentale de Derval |
| Résumé : |
L’installation d’un robot de traite est souvent associée à la diminution ou à la
suppression de l’herbe pâturée dans la ration des vaches laitière. Pourtant
l’autonomie alimentaire des élevages est un des enjeux pour l’agriculture
d’aujourd’hui.
Avec près de 3800 exploitations françaises équipées d’un robot de traite en
2014, le maintien de la part d’herbe pâturée dans la ration des vaches
laitières en système de traite robotisée est une problématique d’actualité.
Dans le but d’apporter des solutions techniques aux éleveurs, la ferme
expérimentale de Derval a pris part au programme CASDAR piloté par
l’Institut de l’élevage « robot et pâturage ». Depuis 2010, la ferme a testé
différents types de circulation et de conduite du troupeau au pâturage. Ces
travaux ont été menés sur un troupeau de 85 Prim’ Holstein, avec un robot
de traite saturé et une circulation guidée inversée avec présélection. Le
pâturage tournant a commencé le 10 mars sur 28ha divisés en trois grandes
parcelles.
Cette année, le silo de maïs n’a pas pu être fermé en raison d’une pousse de
l’herbe insuffisante. Durant 112 jours, l’ingestion de 1t/MS d’herbe
pâturée/VL a permis de maintenir la production laitière à 27,9kg/VL sans
perturber la fréquence de traite. Et l’identification des facteurs favorables au
pâturage ont permis d’expliquer la variabilité de temps de pâturage au fil des
jours.
Ces résultats sont l’aboutissement de 5 années d’expérimentation à la ferme
de Derval. Leur portée est donc limitée aux conditions de l’étude et certains
ne peuvent constituer que des tendances |
Après l’installation d’un robot de traite, comment maintenir la part d’herbe pâturée dans la ration des vaches laitières ? [texte imprimé] / Catherine Entraygues, Auteur . - 2014 . - 116 p. ; Version papier + Cd. Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Ferme expérimentale de Derval (44590 Derval)
Non confidentiel
Président du jury :Patrice Lepelletier Langues : Français ( fre) | Mots-clés : |
Robot de traite Pâturage Vaches laitières Expérimentation Circulation Temps de présence à la pâture Pâturage Bovin Autograssmilk Ferme expérimentale de Derval |
| Résumé : |
L’installation d’un robot de traite est souvent associée à la diminution ou à la
suppression de l’herbe pâturée dans la ration des vaches laitière. Pourtant
l’autonomie alimentaire des élevages est un des enjeux pour l’agriculture
d’aujourd’hui.
Avec près de 3800 exploitations françaises équipées d’un robot de traite en
2014, le maintien de la part d’herbe pâturée dans la ration des vaches
laitières en système de traite robotisée est une problématique d’actualité.
Dans le but d’apporter des solutions techniques aux éleveurs, la ferme
expérimentale de Derval a pris part au programme CASDAR piloté par
l’Institut de l’élevage « robot et pâturage ». Depuis 2010, la ferme a testé
différents types de circulation et de conduite du troupeau au pâturage. Ces
travaux ont été menés sur un troupeau de 85 Prim’ Holstein, avec un robot
de traite saturé et une circulation guidée inversée avec présélection. Le
pâturage tournant a commencé le 10 mars sur 28ha divisés en trois grandes
parcelles.
Cette année, le silo de maïs n’a pas pu être fermé en raison d’une pousse de
l’herbe insuffisante. Durant 112 jours, l’ingestion de 1t/MS d’herbe
pâturée/VL a permis de maintenir la production laitière à 27,9kg/VL sans
perturber la fréquence de traite. Et l’identification des facteurs favorables au
pâturage ont permis d’expliquer la variabilité de temps de pâturage au fil des
jours.
Ces résultats sont l’aboutissement de 5 années d’expérimentation à la ferme
de Derval. Leur portée est donc limitée aux conditions de l’étude et certains
ne peuvent constituer que des tendances |
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