Titre :	La fiscalité française incite -t-elle les agriculteurs à investir en matériel ? : étude de l'impact des investissements sur les coûts de production du blé dans des exploitations céréalières du sud de l'Aisne
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Emeline Cuif, Auteur
Année de publication :	2011
Importance :	53 p.
Format :	Version papier + Cd
Note générale :	Mémoire de projet ingénieur Lieu de stage :CER France (0240 Château Thierry) Non confidentiel Président de jury : François Merle
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Investissements  fiscalité  coût de production  mécanisation  optimisation  charges  suréquipement  comportement  exploitations céréalières  Aisne
Résumé :	Le travail a porté sur l’impact des investissements en matériel sur les coûts de production du blé dans des exploitations du Sud de l’Aisne. Un échantillon de 52 exploitations a été mis en place, puis une méthode de calcul a été choisie afin de calculer le coût de production du blé de chaque exploitation. Un investissement a été détaillé afin de bien comprendre le mécanisme d’optimisation fiscale et sociale ainsi que l’effet de cet investissement sur le coût de production du blé de l’exploitation étudiée. Le coût de production est principalement constitué des charges opérationnelles, des charges de mécanisation et des charges de main d’oeuvre. L’analyse des résultats a démontré une importante différence entre les postes de charges des exploitations, notamment au niveau des charges de mécanisation et de main d’oeuvre. Deux groupes ont été distingués de l’échantillon : les exploitations renouvelant fréquemment leur matériel et les exploitations utilisant leur matériel au maximum. Leurs coûts de production ont été comparés et les exploitants investissant régulièrement ont un coût de production bien plus élevé que celui de l’autre groupe. Ceci s’explique par des amortissements très importants ainsi que des coûts d’entretien élevés. Malgré un poste de mécanisation important, le gain fiscal et social est minime. L’équipement des exploitations a été étudié et il s’avère que les investisseurs sont suréquipés. Certes, la fiscalité française favorise les investissements, mais les agriculteurs ont tendance à se suréquiper et possèdent alors des montants d’amortissements très élevés ce qui impacte leurs coûts de production.

La fiscalité française incite -t-elle les agriculteurs à investir en matériel ? : étude de l'impact des investissements sur les coûts de production du blé dans des exploitations céréalières du sud de l'Aisne [texte imprimé] / Emeline Cuif, Auteur . - 2011 . - 53 p. ; Version papier + Cd.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :CER France (0240 Château Thierry)
Non confidentiel
Président de jury : François Merle
Langues : Français (fre)

Mots-clés :

Investissements  fiscalité  coût de production  mécanisation  optimisation  charges  suréquipement  comportement  exploitations céréalières  Aisne

Résumé :

Le travail a porté sur l’impact des investissements en matériel sur les coûts de production du blé dans des exploitations du Sud de l’Aisne. Un échantillon de 52 exploitations a été mis en place, puis une méthode de calcul a été choisie afin de calculer le coût de production du blé de chaque exploitation. Un investissement a été détaillé afin de bien comprendre le mécanisme d’optimisation fiscale et sociale ainsi que l’effet de cet investissement sur le coût de production du blé de l’exploitation étudiée. Le coût de production est principalement constitué des charges opérationnelles, des charges de mécanisation et des charges de main d’oeuvre. L’analyse des résultats a démontré une importante différence entre les postes de charges des exploitations, notamment au niveau des charges de mécanisation et de main d’oeuvre. Deux groupes ont été distingués de l’échantillon : les exploitations renouvelant fréquemment leur matériel et les exploitations utilisant leur matériel au maximum. Leurs coûts de production ont été comparés et les exploitants investissant régulièrement ont un coût de production bien plus élevé que celui de l’autre groupe. Ceci s’explique par des amortissements très importants ainsi que des coûts d’entretien élevés. Malgré un poste de mécanisation important, le gain fiscal et social est minime. L’équipement des exploitations a été étudié et il s’avère que les investisseurs sont suréquipés. Certes, la fiscalité française favorise les investissements, mais les agriculteurs ont tendance à se suréquiper et possèdent alors des montants d’amortissements très élevés ce qui impacte leurs coûts de production.