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Etude des pratiques de fertilisation en Haute Normandie et perspectives d'amélioration / Sébastien Benoist / 2009
Titre : Etude des pratiques de fertilisation en Haute Normandie et perspectives d'amélioration Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Benoist, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 52 p. Accompagnement : Version CD Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Cap Seine
Confidentiel 5 ans ( 09/2014)
Président de jury : Karine LavalLangues : Français (fre) Mots-clés : Pratiques de fertilisation éléments minéraux et organiques Nitrates pollution agricole Grenelle de l’environnement 4ème programme d’actions directive nitrates qualité des eaux Epiclès Haute Normandie Résumé : Ces dernières décennies, l’utilisation d’éléments fertilisants, qu’ils soient organiques ou minéraux, est fortement réglementée. En effet, utilisés en excès ces derniers peuvent contribuer à la pollution de l’environnement et notamment des eaux. Les fortes concentrations de nitrates et phosphates dans les
eaux engendrent des problèmes d’Eutrophisation entraînant un bouleversement du biotope, et peuvent également présenter des dangers pour la santé humaine.
En 1997, pour tenter de diminuer l’empreinte agricole sur
l’environnement, est apparu le premier programme d’actions de la directive nitrates. Emanant du Grenelle de l’environnement, le 1er Juillet 2009 a été établi
le 4ème programme d’actions avec pour objectif de produire « plus et mieux ». En effet, l’utilisation des fertilisants est indispensable pour garantir un haut niveau de productivité afin de répondre aux besoins alimentaires mondiaux.
Le présent mémoire a pour but de réaliser dans un premier temps, un état des lieux des pratiques de fertilisation des adhérents de la coopérative Cap
Seine à partir de la base de données « Epiclès ». Dans un second temps, il s’agit d’étudier le comportement de ces agriculteurs Hauts Normands face aux conseils de fertilisation délivrés par l’outil « Epiclès ». A l’image de l’effet « dose conseillée », si les doses préconisées sont différentes des doses
habituellement appliquées, l’agriculteur s’écarte des préconisations. Soucieuse de ces nouveaux enjeux, il était important pour la coopérative de faire le point
sur les pratiques de fertilisation afin d’évaluer l’impact de la mise en place du 4ème programme d’actions sur celles-ci. L’étude des facteurs influençant le
suivi du conseil azoté a permis d’établir des pistes expliquant un non suivi du conseil azoté. Ce travail sera valorisé par la coopérative, permettant ainsi d’améliorer l’accompagnement des agriculteurs dans leurs pratiques.Etude des pratiques de fertilisation en Haute Normandie et perspectives d'amélioration [texte imprimé] / Sébastien Benoist, Auteur . - 2009 . - 52 p. + Version CD.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : Cap Seine
Confidentiel 5 ans ( 09/2014)
Président de jury : Karine Laval
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pratiques de fertilisation éléments minéraux et organiques Nitrates pollution agricole Grenelle de l’environnement 4ème programme d’actions directive nitrates qualité des eaux Epiclès Haute Normandie Résumé : Ces dernières décennies, l’utilisation d’éléments fertilisants, qu’ils soient organiques ou minéraux, est fortement réglementée. En effet, utilisés en excès ces derniers peuvent contribuer à la pollution de l’environnement et notamment des eaux. Les fortes concentrations de nitrates et phosphates dans les
eaux engendrent des problèmes d’Eutrophisation entraînant un bouleversement du biotope, et peuvent également présenter des dangers pour la santé humaine.
En 1997, pour tenter de diminuer l’empreinte agricole sur
l’environnement, est apparu le premier programme d’actions de la directive nitrates. Emanant du Grenelle de l’environnement, le 1er Juillet 2009 a été établi
le 4ème programme d’actions avec pour objectif de produire « plus et mieux ». En effet, l’utilisation des fertilisants est indispensable pour garantir un haut niveau de productivité afin de répondre aux besoins alimentaires mondiaux.
Le présent mémoire a pour but de réaliser dans un premier temps, un état des lieux des pratiques de fertilisation des adhérents de la coopérative Cap
Seine à partir de la base de données « Epiclès ». Dans un second temps, il s’agit d’étudier le comportement de ces agriculteurs Hauts Normands face aux conseils de fertilisation délivrés par l’outil « Epiclès ». A l’image de l’effet « dose conseillée », si les doses préconisées sont différentes des doses
habituellement appliquées, l’agriculteur s’écarte des préconisations. Soucieuse de ces nouveaux enjeux, il était important pour la coopérative de faire le point
sur les pratiques de fertilisation afin d’évaluer l’impact de la mise en place du 4ème programme d’actions sur celles-ci. L’étude des facteurs influençant le
suivi du conseil azoté a permis d’établir des pistes expliquant un non suivi du conseil azoté. Ce travail sera valorisé par la coopérative, permettant ainsi d’améliorer l’accompagnement des agriculteurs dans leurs pratiques.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Etude des pratiques phytosanitaires en Haute-Normandie et perspectives de réduction de leur usage / Anne Plovie / 2008
Titre : Etude des pratiques phytosanitaires en Haute-Normandie et perspectives de réduction de leur usage Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Plovie, Auteur Année de publication : 2008 Importance : 101 p. Note générale : Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :
Confidentiel 3 ans (juillet 2011)Langues : Français (fre) Mots-clés : pesticides produits phytosanitaires pratiques culturales IFT indicateur de
fréquence de traitement Ecophyto 2018 Grenelle de l’environnement Haute-NormandieRésumé : L’utilisation de produits phytosanitaires pour protéger les cultures est indispensable pour
garantir un haut niveau de productivité et maximiser ainsi l’offre alimentaire mondiale. Ces
produits permettent aussi de garantir la sécurité sanitaire et un coût réduit des aliments à
destination des animaux et des hommes. Il existe cependant des risques à leur utilisation :
contamination de l’homme et danger pour sa santé ; pollution de l’environnement et des
ressources en eau ; mutation des populations. Pour réduire les risques, il y a plusieurs pistes
de progression. Le Grenelle de l’Environnement a émis une proposition visant à réduire
l’utilisation des pesticides.
La présente étude a été réalisée pour dresser un état des lieux des pratiques phytosanitaires
actuelles en Haute-Normandie, à partir d’une base de données « agriculteurs ». Dans une
démarche globale de progrès, il est en effet indispensable de connaître la situation zéro et son
contexte. Dans cette région, on a observé une augmentation, ces cinq dernières campagnes, de
l’utilisation des produits de protection des plantes (mesurée par l’Indicateur de Fréquence de
Traitement : IFT), explicables par diverses observations d’experts. Les pratiques culturales
(travail du sol, choix variétal...) ont été étudiées pour connaître leur éventuel impact sur cette
mesure. Il a ainsi été dégagé, à échelle départementale, quelques pistes techniques permettant
aujourd’hui d’utiliser moins de produits phytopharmaceutiques. Ce travail sera valorisé par le
GIE Norman Trace dans les préconisations et stratégies des coopératives agricoles qui le
composentEtude des pratiques phytosanitaires en Haute-Normandie et perspectives de réduction de leur usage [texte imprimé] / Anne Plovie, Auteur . - 2008 . - 101 p.
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :
Confidentiel 3 ans (juillet 2011)
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pesticides produits phytosanitaires pratiques culturales IFT indicateur de
fréquence de traitement Ecophyto 2018 Grenelle de l’environnement Haute-NormandieRésumé : L’utilisation de produits phytosanitaires pour protéger les cultures est indispensable pour
garantir un haut niveau de productivité et maximiser ainsi l’offre alimentaire mondiale. Ces
produits permettent aussi de garantir la sécurité sanitaire et un coût réduit des aliments à
destination des animaux et des hommes. Il existe cependant des risques à leur utilisation :
contamination de l’homme et danger pour sa santé ; pollution de l’environnement et des
ressources en eau ; mutation des populations. Pour réduire les risques, il y a plusieurs pistes
de progression. Le Grenelle de l’Environnement a émis une proposition visant à réduire
l’utilisation des pesticides.
La présente étude a été réalisée pour dresser un état des lieux des pratiques phytosanitaires
actuelles en Haute-Normandie, à partir d’une base de données « agriculteurs ». Dans une
démarche globale de progrès, il est en effet indispensable de connaître la situation zéro et son
contexte. Dans cette région, on a observé une augmentation, ces cinq dernières campagnes, de
l’utilisation des produits de protection des plantes (mesurée par l’Indicateur de Fréquence de
Traitement : IFT), explicables par diverses observations d’experts. Les pratiques culturales
(travail du sol, choix variétal...) ont été étudiées pour connaître leur éventuel impact sur cette
mesure. Il a ainsi été dégagé, à échelle départementale, quelques pistes techniques permettant
aujourd’hui d’utiliser moins de produits phytopharmaceutiques. Ce travail sera valorisé par le
GIE Norman Trace dans les préconisations et stratégies des coopératives agricoles qui le
composentExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
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