Titre : |
Synthèse et analyse des indicateurs de fréquence de traitement (IFT) des entreprises agricoles adhérentes au CERFRANCE Mayenne- Sarthe pour la campagne 2012-2013 et mise en relation avec leurs performances économiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aurélien Bouchaud, Auteur |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
57 p. |
Format : |
Version papier + Cd |
Note générale : |
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : CER france (53061 Laval)
Non onfidentiel
Président du jury : Salima Taïbi |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Produit phtyosanitaire pesticide traitement IFT Mayenne Sarthe surface orientation technico-économique blé maïs colza orge triticale rendement marge brut performance |
Résumé : |
La protection des cultures est aujourd’hui un enjeu considérable pour l’agriculture. L’utilisation des produits phytosanitaires est largement répandue dans notre modèle français, mais il existe des risques pour l’homme et l’environnement. Les pouvoirs publics, à travers le plan ECOPHYTO, ont mis en place un indicateur qui permet de mesurer l’intensité de traitement appliqué sur une parcelle, l’Indice de Fréquence de Traitement (IFT). Celui-ci est utilisé lors de notre étude afin de faire un état des lieux de l’intensité de traitements en Mayenne et en Sarthe, mais aussi de comparer les exploitations entre elles et d’apprécier leurs différences. L’IFT est aussi mis en relation avec des indicateurs économiques afin de voir si performance environnementale et économique sont liées.
La base de données issu des registres phytosanitaires des exploitants adhérents au CERFRANCE 53-72 a permis le calcul de 938 IFT. Ils sont ensuite comparés à des critères descriptifs tels que la surface ou l’orientation technico-économique, puis comparés à des indicateurs économiques issus de la comptabilité, telle que la marge brute culture.
Ces analyses montrent que les principales variations d’IFT entre les exploitations sont dues à la présence de prairies temporaires, mais aussi à la nature et la diversité de l’assolement ainsi qu’à la surface. Du point de vue économique, on ne trouve pas de relation entre l’IFT et la marge brute d’une culture. Cette étude pourra être enrichie par de nouveaux calculs d’IFT qui permettront d’avoir un aperçu des pratiques sur plusieurs années et de compléter l’analyse. |
Synthèse et analyse des indicateurs de fréquence de traitement (IFT) des entreprises agricoles adhérentes au CERFRANCE Mayenne- Sarthe pour la campagne 2012-2013 et mise en relation avec leurs performances économiques [texte imprimé] / Aurélien Bouchaud, Auteur . - 2014 . - 57 p. ; Version papier + Cd. Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage : CER france (53061 Laval)
Non onfidentiel
Président du jury : Salima Taïbi Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Produit phtyosanitaire pesticide traitement IFT Mayenne Sarthe surface orientation technico-économique blé maïs colza orge triticale rendement marge brut performance |
Résumé : |
La protection des cultures est aujourd’hui un enjeu considérable pour l’agriculture. L’utilisation des produits phytosanitaires est largement répandue dans notre modèle français, mais il existe des risques pour l’homme et l’environnement. Les pouvoirs publics, à travers le plan ECOPHYTO, ont mis en place un indicateur qui permet de mesurer l’intensité de traitement appliqué sur une parcelle, l’Indice de Fréquence de Traitement (IFT). Celui-ci est utilisé lors de notre étude afin de faire un état des lieux de l’intensité de traitements en Mayenne et en Sarthe, mais aussi de comparer les exploitations entre elles et d’apprécier leurs différences. L’IFT est aussi mis en relation avec des indicateurs économiques afin de voir si performance environnementale et économique sont liées.
La base de données issu des registres phytosanitaires des exploitants adhérents au CERFRANCE 53-72 a permis le calcul de 938 IFT. Ils sont ensuite comparés à des critères descriptifs tels que la surface ou l’orientation technico-économique, puis comparés à des indicateurs économiques issus de la comptabilité, telle que la marge brute culture.
Ces analyses montrent que les principales variations d’IFT entre les exploitations sont dues à la présence de prairies temporaires, mais aussi à la nature et la diversité de l’assolement ainsi qu’à la surface. Du point de vue économique, on ne trouve pas de relation entre l’IFT et la marge brute d’une culture. Cette étude pourra être enrichie par de nouveaux calculs d’IFT qui permettront d’avoir un aperçu des pratiques sur plusieurs années et de compléter l’analyse. |
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