Titre : |
Agriculture et qualité de l'eau : le dispositif de Lons-Le-Saunier : Evolution des jeux d'acteurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Laura Martin, Auteur |
Année de publication : |
2010 |
Importance : |
50 p. + annexes |
Format : |
Version Papier + CD |
Note générale : |
Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :INRA Mirecourt
Non confidentiel
Président du jury :Marc Legras |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Agriculture Territoire Eau Qualité Protection Nitrates Phytosanitaires Dispositif Acteurs Agriculture Biologique |
Résumé : |
La protection de l’eau est devenue un enjeu majeur depuis le
renforcement des obligations réglementaires qui imposent le
bon état des masses d’eau d’ici 2015. Les gestionnaires de
l’eau sont alors contraints de mettre en place des actions
préventives, en intervenant sur les pratiques agricoles situées à
proximité des captages d’eau potable. Or ces derniers
manquent d’expérience pour inciter le changement de ces
pratiques sur un territoire.
C’est dans ce contexte que le programme de recherche
Agriculture Biologique et Périmètre de Captage (ABiPeC),
mobilise trois équipes de l’INRA et l’ISARA sur les incitations
locales à la conversion en agriculture biologique sur les aires
d’alimentation de captage et qu’une étude de six mois a été
mise en place à l’INRA de Mirecourt sur le dispositif de
protection de l’eau de Lons-le-Saunier, considéré comme un
exemple en la matière.
Cette étude reconstitue les étapes de construction du dispositif
et analyse l’évolution des relations mises en place entre les
acteurs. Ce travail a été réalisé par des enquêtes auprès de
différentes catégories d’acteurs pour reconstituer les faits et
identifier leurs points de vue via une analyse de discours.
Les propos recueillis ont permis de comprendre que l’évolution
du contexte réglementaire, politique et économique ont
régulièrement conduit les acteurs à renégocier le dispositif.
Aujourd’hui des tensions entre la ville et les agriculteurs
seraient expliquées par l’augmentation du nombre d’acteurs
impliqués, qui complexifie les jeux d’acteurs et par le décalage
entre eux sur les nouvelles actions à conduire pour protéger
l’eau, notamment pour l’agriculture biologique. |
Agriculture et qualité de l'eau : le dispositif de Lons-Le-Saunier : Evolution des jeux d'acteurs [texte imprimé] / Laura Martin, Auteur . - 2010 . - 50 p. + annexes ; Version Papier + CD. Mémoire de projet ingénieur
Lieu de stage :INRA Mirecourt
Non confidentiel
Président du jury :Marc Legras Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Agriculture Territoire Eau Qualité Protection Nitrates Phytosanitaires Dispositif Acteurs Agriculture Biologique |
Résumé : |
La protection de l’eau est devenue un enjeu majeur depuis le
renforcement des obligations réglementaires qui imposent le
bon état des masses d’eau d’ici 2015. Les gestionnaires de
l’eau sont alors contraints de mettre en place des actions
préventives, en intervenant sur les pratiques agricoles situées à
proximité des captages d’eau potable. Or ces derniers
manquent d’expérience pour inciter le changement de ces
pratiques sur un territoire.
C’est dans ce contexte que le programme de recherche
Agriculture Biologique et Périmètre de Captage (ABiPeC),
mobilise trois équipes de l’INRA et l’ISARA sur les incitations
locales à la conversion en agriculture biologique sur les aires
d’alimentation de captage et qu’une étude de six mois a été
mise en place à l’INRA de Mirecourt sur le dispositif de
protection de l’eau de Lons-le-Saunier, considéré comme un
exemple en la matière.
Cette étude reconstitue les étapes de construction du dispositif
et analyse l’évolution des relations mises en place entre les
acteurs. Ce travail a été réalisé par des enquêtes auprès de
différentes catégories d’acteurs pour reconstituer les faits et
identifier leurs points de vue via une analyse de discours.
Les propos recueillis ont permis de comprendre que l’évolution
du contexte réglementaire, politique et économique ont
régulièrement conduit les acteurs à renégocier le dispositif.
Aujourd’hui des tensions entre la ville et les agriculteurs
seraient expliquées par l’augmentation du nombre d’acteurs
impliqués, qui complexifie les jeux d’acteurs et par le décalage
entre eux sur les nouvelles actions à conduire pour protéger
l’eau, notamment pour l’agriculture biologique. |
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