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Climat : pourquoi la planète sera peut être sauvée ? in Courrier international, n° 995 ( 26 novembre 2009 )
[article]
Titre : Climat : pourquoi la planète sera peut être sauvée ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : p.18-70 Langues : Français (fre) Note de contenu : Cela fait des années que l’on attend le sommet sur le changement climatique qui aura lieu du 7 au 18 décembre à Copenhague. Pourtant, sauf miracle, il n’y aura pas de protocole contraignant signé au Danemark – tout juste une grande déclaration politique pour marquer l’urgence de limiter les gaz à effet de serre.
• Mais l’échec du sommet serait-il si grave ? Non car, ces dernières années, les mentalités ont vraiment évolué et chacun est convaincu qu’il faut lutter contre le phénomène.
• Les pays en développement ont pris conscience qu’ils ne pourront pas se dispenser du débat, les pays riches savent qu’ils devront payer… Mieux, la Chine fera bientôt des bonds de géant pour se tourner vers une croissance plus propre. Et l’Amérique d’Obama pourrait lui emboîter le pas en 2010… Sommes-nous trop optimistes ?En ligne : http://www.courrierinternational.com/gabarits/html/default_online.asp
in Courrier international > n° 995 ( 26 novembre 2009 ) . - p.18-70[article] Climat : pourquoi la planète sera peut être sauvée ? [texte imprimé] . - 2009 . - p.18-70.
Langues : Français (fre)
in Courrier international > n° 995 ( 26 novembre 2009 ) . - p.18-70
Note de contenu : Cela fait des années que l’on attend le sommet sur le changement climatique qui aura lieu du 7 au 18 décembre à Copenhague. Pourtant, sauf miracle, il n’y aura pas de protocole contraignant signé au Danemark – tout juste une grande déclaration politique pour marquer l’urgence de limiter les gaz à effet de serre.
• Mais l’échec du sommet serait-il si grave ? Non car, ces dernières années, les mentalités ont vraiment évolué et chacun est convaincu qu’il faut lutter contre le phénomène.
• Les pays en développement ont pris conscience qu’ils ne pourront pas se dispenser du débat, les pays riches savent qu’ils devront payer… Mieux, la Chine fera bientôt des bonds de géant pour se tourner vers une croissance plus propre. Et l’Amérique d’Obama pourrait lui emboîter le pas en 2010… Sommes-nous trop optimistes ?En ligne : http://www.courrierinternational.com/gabarits/html/default_online.asp Documents numériques
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[article]
Titre : Dossier : relever le défi climatique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Note de contenu : 1/ Le débat sur la taxe carbone en France
Futuribles
Christian de Perthuis
Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, la France s'est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2050. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a décidé, suivant en partie les préconisations de la commission sur la contribution " climat et énergie " présidée par Michel Rocard, d'instaurer à partir de 2010 une taxe carbone de 17 euros par tonne de CO2 (dioxyde de carbone). Ce nouvel impôt vert fait, depuis, l'objet d'un vif débat. S'il doit permettre, à terme, de modifier les comportements des agents économiques, son introduction pose un certain nombre de difficultés comme le niveau du taux d'imposition optimal, le problème de la compensation pour les ménages les plus pauvres et les salariés résidant loin de leur lieu de travail ou celui de la taxation de certaines activités professionnelles fortement émettrices de CO2.
2/ Réduire les gaz à effet de serre : la boîte à outils des économistes
Etude de la mission Climat
Caisse des dépôts et consignations
A l'heure où la France s'interroge sur la nécessité d'instaurer une taxe carbone, les économistes réfléchissent aux possibilités dont disposent les Etats en général pour lutter contre le réchauffement climatique. L'étude de la mission Climat de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) passe en revue les différents instruments de réduction des gaz à effet de serre (GES) et en montre les avantages et les inconvénients. Si l'instauration d'une taxe semble avoir fait ses preuves en Suède ou en Norvège, elle serait difficile à mettre en œuvre au niveau international. Le marché d'émissions de GES, lui, permet de jouer sur les volumes et présente l'avantage d'octroyer plus de liberté aux Etats. Mais ce système a aussi des imperfections. Il est notamment susceptible d'encourager les comportements spéculatifs...
3/ J-12 avant le sommet de Copenhague !
Lettre de l'OFCE
Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux
A la veille du sommet de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre 2009, les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) doivent, afin de convaincre, notamment la Chine de participer à un accord global, donner l'exemple en se mettant d'accord sur des engagements ambitieux en matière de lutte contre le réchauffement climatique. La clé du succès du sommet de Copenhague tient ainsi à la détermination et à la crédibilité des Etats-Unis et de l'UE. Or, si les Européens font figure de leaders en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le paquet énergie-climat, adopté en décembre 2008, ne fait pas l'unanimité parmi les Etats membres. Les Américains, de leur côté, peineront à faire accepter par le Sénat un programme contre lequel les opposants, même parmi les Démocrates, sont légion.
4/Et si Copenhague échouait ?
Rapport du Conseil d'analyse économique
Jean Tirole
Les négociations ayant abouti, il y a une dizaine d'années, à la mise en œuvre du Protocole de Kyoto ont été considérées comme un demi-échec en raison de la non-ratification par les Etats-Unis de ce dernier et de l'absence de contraintes pour les grands pays émergents. Le sommet de Copenhague, en décembre 2009, constituera une étape cruciale pour l'après-Kyoto. Jean Tirole fixe, dans un rapport récent du Conseil d'analyse économique (CAE), le cadre de ce que serait un accord global optimal. Selon lui, une approche globale fondée sur un système unique de droits d'émissions négociables, avec un prix unique du carbone fixé au niveau international et une allocation mondiale des droits à polluer, serait préférable à toutes les autres solutions. Mais les dispositifs actuels de lutte contre le réchauffement climatique, dont il évalue également l'efficacité, ne vont pas dans le sens d'une coopération internationale efficace. Tel est le cas du mécanisme de développement propre (MDP) qui, bien que largement utilisé, présente en effet un certain nombre d'effets pervers.
5/L'adaptation au changement climatique : une nécessité pour les pays en développement
Responsabilité et environnement - Annales des mines
Marc Gillet
Le réchauffement climatique est un phénomène cumulatif : le CO2 (dioxyde de carbone) relâché dans l'atmosphère y demeure plusieurs dizaines d'années (de cinquante à deux cents ans). Ainsi, même si les Etats s'avéraient capables à l'avenir de stabiliser les émissions de gaz à effet de serre (GES), celles lâchées dans l'atmosphère, il y a plusieurs années, ont d'ores et déjà entraîné un changement profond du climat. C'est pourquoi, mettre en œuvre rapidement des mécanismes d'adaptation au changement climatique est devenu impératif. Ce principe consiste, selon la définition qu'en donnent les spécialistes, à " s'interroger sur les actions à entreprendre afin de vivre, dans les meilleures conditions possibles, les climats du futur en réduisant notre vulnérabilité face au changement climatique qui se produira malgré tout ". Mais l'adaptation coûte très cher (déplacer les populations, reboiser, modifier les modes de construction, etc.) et les régions qui en ont le plus besoin sont aussi les plus pauvres. Longtemps sous-estimé, l'enjeu de l'adaptation figure désormais à l'agenda de la plupart des programmes d'aide au développement.En ligne : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/revues-collections/problemes-economiques/ [...]
in Problèmes économiques > n°2983 (25 novembre 2009 )[article] Dossier : relever le défi climatique [texte imprimé] . - 2009.
Langues : Français (fre)
in Problèmes économiques > n°2983 (25 novembre 2009 )
Note de contenu : 1/ Le débat sur la taxe carbone en France
Futuribles
Christian de Perthuis
Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, la France s'est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2050. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a décidé, suivant en partie les préconisations de la commission sur la contribution " climat et énergie " présidée par Michel Rocard, d'instaurer à partir de 2010 une taxe carbone de 17 euros par tonne de CO2 (dioxyde de carbone). Ce nouvel impôt vert fait, depuis, l'objet d'un vif débat. S'il doit permettre, à terme, de modifier les comportements des agents économiques, son introduction pose un certain nombre de difficultés comme le niveau du taux d'imposition optimal, le problème de la compensation pour les ménages les plus pauvres et les salariés résidant loin de leur lieu de travail ou celui de la taxation de certaines activités professionnelles fortement émettrices de CO2.
2/ Réduire les gaz à effet de serre : la boîte à outils des économistes
Etude de la mission Climat
Caisse des dépôts et consignations
A l'heure où la France s'interroge sur la nécessité d'instaurer une taxe carbone, les économistes réfléchissent aux possibilités dont disposent les Etats en général pour lutter contre le réchauffement climatique. L'étude de la mission Climat de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) passe en revue les différents instruments de réduction des gaz à effet de serre (GES) et en montre les avantages et les inconvénients. Si l'instauration d'une taxe semble avoir fait ses preuves en Suède ou en Norvège, elle serait difficile à mettre en œuvre au niveau international. Le marché d'émissions de GES, lui, permet de jouer sur les volumes et présente l'avantage d'octroyer plus de liberté aux Etats. Mais ce système a aussi des imperfections. Il est notamment susceptible d'encourager les comportements spéculatifs...
3/ J-12 avant le sommet de Copenhague !
Lettre de l'OFCE
Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux
A la veille du sommet de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre 2009, les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) doivent, afin de convaincre, notamment la Chine de participer à un accord global, donner l'exemple en se mettant d'accord sur des engagements ambitieux en matière de lutte contre le réchauffement climatique. La clé du succès du sommet de Copenhague tient ainsi à la détermination et à la crédibilité des Etats-Unis et de l'UE. Or, si les Européens font figure de leaders en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le paquet énergie-climat, adopté en décembre 2008, ne fait pas l'unanimité parmi les Etats membres. Les Américains, de leur côté, peineront à faire accepter par le Sénat un programme contre lequel les opposants, même parmi les Démocrates, sont légion.
4/Et si Copenhague échouait ?
Rapport du Conseil d'analyse économique
Jean Tirole
Les négociations ayant abouti, il y a une dizaine d'années, à la mise en œuvre du Protocole de Kyoto ont été considérées comme un demi-échec en raison de la non-ratification par les Etats-Unis de ce dernier et de l'absence de contraintes pour les grands pays émergents. Le sommet de Copenhague, en décembre 2009, constituera une étape cruciale pour l'après-Kyoto. Jean Tirole fixe, dans un rapport récent du Conseil d'analyse économique (CAE), le cadre de ce que serait un accord global optimal. Selon lui, une approche globale fondée sur un système unique de droits d'émissions négociables, avec un prix unique du carbone fixé au niveau international et une allocation mondiale des droits à polluer, serait préférable à toutes les autres solutions. Mais les dispositifs actuels de lutte contre le réchauffement climatique, dont il évalue également l'efficacité, ne vont pas dans le sens d'une coopération internationale efficace. Tel est le cas du mécanisme de développement propre (MDP) qui, bien que largement utilisé, présente en effet un certain nombre d'effets pervers.
5/L'adaptation au changement climatique : une nécessité pour les pays en développement
Responsabilité et environnement - Annales des mines
Marc Gillet
Le réchauffement climatique est un phénomène cumulatif : le CO2 (dioxyde de carbone) relâché dans l'atmosphère y demeure plusieurs dizaines d'années (de cinquante à deux cents ans). Ainsi, même si les Etats s'avéraient capables à l'avenir de stabiliser les émissions de gaz à effet de serre (GES), celles lâchées dans l'atmosphère, il y a plusieurs années, ont d'ores et déjà entraîné un changement profond du climat. C'est pourquoi, mettre en œuvre rapidement des mécanismes d'adaptation au changement climatique est devenu impératif. Ce principe consiste, selon la définition qu'en donnent les spécialistes, à " s'interroger sur les actions à entreprendre afin de vivre, dans les meilleures conditions possibles, les climats du futur en réduisant notre vulnérabilité face au changement climatique qui se produira malgré tout ". Mais l'adaptation coûte très cher (déplacer les populations, reboiser, modifier les modes de construction, etc.) et les régions qui en ont le plus besoin sont aussi les plus pauvres. Longtemps sous-estimé, l'enjeu de l'adaptation figure désormais à l'agenda de la plupart des programmes d'aide au développement.En ligne : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/revues-collections/problemes-economiques/ [...] L'économie verte / Philippe Jurgensen / Paris : Odile Jacob (2009)
Titre : L'économie verte : comment sauver notre planète Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Jurgensen, Auteur Editeur : Paris : Odile Jacob Année de publication : 2009 Importance : 329 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7381-2249-0 Prix : 27 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : 333.7 Environnement et développement durable Résumé : Quatrième de couverture : Cyclones, inondations, incendies se succèdent à un rythme accéléré depuis quelques années.L'air que nous respirons, l'eau que nous buvons, les sols qui nous nourrissent continuent de se dégrader, sans parler du climat qui se réchauffe, de l'énergie qui se raréfie et de la biodiversité qui se réduit. Tout le monde, ou presque, s'accorde aujourd'hui pour reconnaître qu'il y a urgence ; mais, concrètement, que peut-on faire, à l'échelon individuel, national ou international ? Quelles sont les priorités, quels sont les obstacles ? Quelles sont les échéances raisonnables ? Quels sont les programmes réalistes ? Réagir efficacement, ce n'est pas lancer des anathèmes contre la mondialisation, faucher des cultures expérimentales ou préconiser l'arrêt de toutes les centrales nucléaires.C'est, au contraire, retourner, au profit de la nature, les deux grands instruments qui ont, parfois, contribué à la détruire : une science bien comprise, qui offre de multiples promesses, et une économie qui ne demande qu'à faire jouer ses lois en faveur de l'environnement, pourvu qu'on valorise, comme il convient, les productions écologiques. Note de contenu : I. Faut-il se sentir menacer
1/ L'accumulation des périls
2/ La protection de l'environnement : une course perdue ?
3/ Le tiers monde : une bombe écologique ?
II. La science et l'économie au service de l'environnement
4/ Réconcilier science et environnement
5/ Réconcilier économie et environnement
III. Les routes du paradis vert
6/ Comment combattre efficacement l'effet de serre
7/ Quelle stratégie énergétique pour demain
8/ Comment protéger durablement notre planète ?
9/ Comment dépolluer intelligement la terre ?L'économie verte : comment sauver notre planète [texte imprimé] / Philippe Jurgensen, Auteur . - Paris : Odile Jacob, 2009 . - 329 p.
ISBN : 978-2-7381-2249-0 : 27 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 333.7 Environnement et développement durable Résumé : Quatrième de couverture : Cyclones, inondations, incendies se succèdent à un rythme accéléré depuis quelques années.L'air que nous respirons, l'eau que nous buvons, les sols qui nous nourrissent continuent de se dégrader, sans parler du climat qui se réchauffe, de l'énergie qui se raréfie et de la biodiversité qui se réduit. Tout le monde, ou presque, s'accorde aujourd'hui pour reconnaître qu'il y a urgence ; mais, concrètement, que peut-on faire, à l'échelon individuel, national ou international ? Quelles sont les priorités, quels sont les obstacles ? Quelles sont les échéances raisonnables ? Quels sont les programmes réalistes ? Réagir efficacement, ce n'est pas lancer des anathèmes contre la mondialisation, faucher des cultures expérimentales ou préconiser l'arrêt de toutes les centrales nucléaires.C'est, au contraire, retourner, au profit de la nature, les deux grands instruments qui ont, parfois, contribué à la détruire : une science bien comprise, qui offre de multiples promesses, et une économie qui ne demande qu'à faire jouer ses lois en faveur de l'environnement, pourvu qu'on valorise, comme il convient, les productions écologiques. Note de contenu : I. Faut-il se sentir menacer
1/ L'accumulation des périls
2/ La protection de l'environnement : une course perdue ?
3/ Le tiers monde : une bombe écologique ?
II. La science et l'économie au service de l'environnement
4/ Réconcilier science et environnement
5/ Réconcilier économie et environnement
III. Les routes du paradis vert
6/ Comment combattre efficacement l'effet de serre
7/ Quelle stratégie énergétique pour demain
8/ Comment protéger durablement notre planète ?
9/ Comment dépolluer intelligement la terre ?Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0012800020543 333.7 JUR Ouvrage Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Salle de lecture Disponible Emissions de gaz à effet de serre en élevages bovins : évaluations, perspectives d’atténuation et compensation par le stockage du carbone dans les sols prairiaux / S. Hacal / Paris : Institut de l'élevage (2006)
Titre : Emissions de gaz à effet de serre en élevages bovins : évaluations, perspectives d’atténuation et compensation par le stockage du carbone dans les sols prairiaux Type de document : document électronique Auteurs : S. Hacal, Auteur ; André Le Gall, Auteur Editeur : Paris : Institut de l'élevage Année de publication : 2006 Importance : 15 p. Langues : Français (fre) Index. décimale : 630 Agronomie Résumé : L’activité d’élevage génère des émissions de gaz à effet de serre, mais permet aussi de stocker du carbone sous les prairies.
Cet article présente une méthode d’estimation des gaz à effet de serre à l’échelle du système d’élevage, puis une première évaluation réalisée sur des systèmes bovins-type.Emissions de gaz à effet de serre en élevages bovins : évaluations, perspectives d’atténuation et compensation par le stockage du carbone dans les sols prairiaux [document électronique] / S. Hacal, Auteur ; André Le Gall, Auteur . - Paris : Institut de l'élevage, 2006 . - 15 p.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 630 Agronomie Résumé : L’activité d’élevage génère des émissions de gaz à effet de serre, mais permet aussi de stocker du carbone sous les prairies.
Cet article présente une méthode d’estimation des gaz à effet de serre à l’échelle du système d’élevage, puis une première évaluation réalisée sur des systèmes bovins-type.Exemplaires
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ArticleAdobe Acrobat PDF Géobiologie en agriculture / Luc Leroy / Paris : Editions France agricole (2019)
Titre : Géobiologie en agriculture : Le guide très pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Leroy, Auteur ; Stéphane Demée, Auteur Editeur : Paris : Editions France agricole Année de publication : 2019 Importance : 183 p. couv. illustrée en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85557-616-9 Langues : Français (fre) Index. décimale : 636 Elevage Résumé : Présentation de l'éditeur : "Il plane encore dans la campagne des interrogations sur des phénomènes plus ésotériques : « Mes vaches ont des mammites et mes dindes sont malades, suis-je envoûté ou penses-tu que je dois appeler un géobiologue ? », Mais qui est ce géobiologue que les agriculteurs d’aujourd’hui consultent de plus en plus fréquemment ? C’est un ami, une connaissance ou un professionnel que l’on est prêt à payer pour résoudre des problèmes récurrents. Il détecte les ondes environnementales pouvant influencer la vie des hommes, des animaux et des végétaux et il propose de modifier leurs effets les plus néfastes.
Le géobiologue explique son succès par la satisfaction des clients, sur les plans sanitaire, productif et économique, clients à qui il propose de repenser le corps humain ou animal dans son environnement, l’espace qui nous entoure et de retrouver un lien, avec la terre, les pierres, les énergies... Sa démarche participe à une demande de pratiques écologiques, de bien-être, de respect de l’environnement.
Le géobiologue fait revivre des traditions que l’on croyait oubliées tout en s’adaptant au monde moderne et à son évolution. D’un côté, il n’est pas sans évoquer un passé presque idéalisé par l’expression « les vieux savaient ! » ; de l’autre, il va émettre un jugement sur l’habitat moderne qui intègre les influences électriques, électromagnétiques dont chacun soupçonne des effets incidences néfastes sur la santé. Le géobiologue n’est donc pas une création ex nihilo. Il est né dans la continuité des traditions populaires du XIXe siècle et il fait le lien avec le monde actuel en ouvrant une réflexion sur l’écologie de l’habitat, ce qui explique en partie son développement croissant au cours de ce XXIe siècle.
Dans cet ouvrage, ces connaissances sont mises au service des agriculteurs, de leurs animaux et de leurs végétaux."Géobiologie en agriculture : Le guide très pratique [texte imprimé] / Luc Leroy, Auteur ; Stéphane Demée, Auteur . - Paris : Editions France agricole, 2019 . - 183 p. couv. illustrée en coul.
ISBN : 978-2-85557-616-9
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 636 Elevage Résumé : Présentation de l'éditeur : "Il plane encore dans la campagne des interrogations sur des phénomènes plus ésotériques : « Mes vaches ont des mammites et mes dindes sont malades, suis-je envoûté ou penses-tu que je dois appeler un géobiologue ? », Mais qui est ce géobiologue que les agriculteurs d’aujourd’hui consultent de plus en plus fréquemment ? C’est un ami, une connaissance ou un professionnel que l’on est prêt à payer pour résoudre des problèmes récurrents. Il détecte les ondes environnementales pouvant influencer la vie des hommes, des animaux et des végétaux et il propose de modifier leurs effets les plus néfastes.
Le géobiologue explique son succès par la satisfaction des clients, sur les plans sanitaire, productif et économique, clients à qui il propose de repenser le corps humain ou animal dans son environnement, l’espace qui nous entoure et de retrouver un lien, avec la terre, les pierres, les énergies... Sa démarche participe à une demande de pratiques écologiques, de bien-être, de respect de l’environnement.
Le géobiologue fait revivre des traditions que l’on croyait oubliées tout en s’adaptant au monde moderne et à son évolution. D’un côté, il n’est pas sans évoquer un passé presque idéalisé par l’expression « les vieux savaient ! » ; de l’autre, il va émettre un jugement sur l’habitat moderne qui intègre les influences électriques, électromagnétiques dont chacun soupçonne des effets incidences néfastes sur la santé. Le géobiologue n’est donc pas une création ex nihilo. Il est né dans la continuité des traditions populaires du XIXe siècle et il fait le lien avec le monde actuel en ouvrant une réflexion sur l’écologie de l’habitat, ce qui explique en partie son développement croissant au cours de ce XXIe siècle.
Dans cet ouvrage, ces connaissances sont mises au service des agriculteurs, de leurs animaux et de leurs végétaux."Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité GEN000000001238 636 LER Ouvrage Centre de documentation UniLasalle/ Campus Rouen Salle de lecture Disponible Et pour quelques degrés de plus... / Christian Perthuis (de) / Paris : Pearson (2009)PermalinkTerritoires, agricultures, pêches et forêts face aux changements climatiques : mieux comprendre les vulnérabilités pour mieux les anticiper / Hervé Le Treut / Rome : FAO - Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (2009)Permalink